nous le reprenions un peu plus haut dar
nous le reprenions un peu plus haut dans la carri~'e d~ses emplois. Nou~,avons vu quel'~stLme bien fondée d~ M. d'Ogny l'avait porté par degrés à une pl~ce assez avantageuse dans les postes. En 1790, cette administraiionavait été ce que l'on appelle réorganisée. On en avait t éloigné j~. d'Ogny, et, suivant l'usage, les nouveaux adminisjtrateurs n'avaient ~u rien de plus pressé que de fairedescendre de quelques degrés i~e protégé particulier .de le.ur pr.edécesseur. Un prompt retour de ~rimne le fit remonter, aucon.traire, beau.coup.plus ha~t, Lesévénenientsporièr.sntaïoinentanéinent a,upouy9irua homme avec qui il était depuis longtemps lié d'une amitié étroite, ce Roland que sa probité et ses lumières n'empêchèrent point de commettre des fautes funestes à son pays, mais dont les malheurs ont fait pardonner la mémoire. On réorganisa une autre fois l'administra tion des postes, et, le 11 mars 1702, M. Bosc en fut nommé l'un des chefs, on peut dire même le chef principal; car ses liaisons particulières avec le ministère lui donnaient à peu près toute l'autorité autorité passagère qui ne dura que seize mois, et devint pour celui qui en était le dépositaire la source de cruelles souffrances. Le premier renvoi de Roland par Louis XV! n'eut point encore d'effet contre lui. Une troisième réorganisation déjà imminente fut alors empêchée par l'Assemblée législative. Mais il n'en fut pas de même du second renvoi .du même ministre, lorsque le parti appelé de la Gironde, dont Roland était la créature, fut abattu et mis en jugement par celui qu'on nommait de la Montagne.