Rappel de votre demande:


Format de téléchargement: : Texte

Vues 89 à 89 sur 397

Nombre de pages: 1

Notice complète:

Titre : Recueil des éloges historiques lus dans les séances publiques de l'Institut de France. Tome 3 / par G. Cuvier

Auteur : Cuvier, Georges (1769-1832). Auteur du texte

Éditeur : Librairie de Firmin-Didot frères, fils et Cie (Paris)

Date d'édition : 1861

Notice d'ensemble : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb302930260

Type : monographie imprimée

Langue : français

Format : 3 vol. (LIX-411, 409, 394 p.) ; in-8

Format : Nombre total de vues : 397

Description : Contient une table des matières

Droits : Consultable en ligne

Droits : Public domain

Identifiant : ark:/12148/bpt6k86249z

Source : Bibliothèque nationale de France, département Littérature et art, Ln9-12. A

Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France

Date de mise en ligne : 15/10/2007

Le texte affiché peut comporter un certain nombre d'erreurs. En effet, le mode texte de ce document a été généré de façon automatique par un programme de reconnaissance optique de caractères (OCR). Le taux de reconnaissance estimé pour ce document est de 94%.


presque a cédée au<x suggestions d' un chartreux q~u veuila.ityatMi~eF dans son ordre.

Cependant on pensait toujours à le préparer à l'état auquel on le destinait, et son père s'étant chargé d'une verrerie phts considérable' qme celle de Servin et qui étan'tsMiuée'dams! l'es'montagnes de l'Auvergne, le laissa, âge de dix ans;, au c&Uége de Dijon, en. priant ses -maitfea' de l'appliquer de préférence aux mathématiques et ? tout ce qui pouvait être utile à un futur officier; dn'eetiom qm', suivie trop à la lettre, lui fit niégliger les langues aaeienmes et la Httérature, sans le rendre un grand mathématicien. En effet, aucune idée d'avaaceBMnt mi de fortune ne pouvait le détourner de ses pMmietS goéts. Les petites ambitions de collège ne le to~ehèrent pas'plus que ne.&rent dans la suite celles tht meode~ il ne, prenait même qu'une faible part aux jeax dw ses camarades, et ne se montrai't guère au milieu de tears ébats que lorsqu'il y avait des faibles à pf&tégetf car dès lo~s une justice inflexible faisait le fond de'so~ca'tactère. Le: peste de ses récréations se passait, ~KS8'saEcha~bf&, à arranger ses ptantes ou ses insectes,. et à lire sans' choix toutes sortes de livres, et chaque Ma~a'H pouvait sortir, il se hâtait de. courir à la eampagae. Ea.&B ses maîtres imaginèrent de l'envoyer aà tours d& botanique de Durande, qui avait alors àBi~~oetque célébrité~ et il se crut éclairé d'un jour tout nouveau. L'étude méthodique de ces objets, que jos~u'alot& il n'avait recueillis et observés que dans MB&soBt&deconfusion, s'empara de son esprit; ce même éeolier potH? qui le latin de Cicéron n'avait point eu