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Titre : Recueil des éloges historiques lus dans les séances publiques de l'Institut de France. Tome 3 / par G. Cuvier

Auteur : Cuvier, Georges (1769-1832). Auteur du texte

Éditeur : Librairie de Firmin-Didot frères, fils et Cie (Paris)

Date d'édition : 1861

Notice d'ensemble : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb302930260

Type : monographie imprimée

Langue : français

Format : 3 vol. (LIX-411, 409, 394 p.) ; in-8

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Description : Contient une table des matières

Droits : Consultable en ligne

Droits : Public domain

Identifiant : ark:/12148/bpt6k86249z

Source : Bibliothèque nationale de France, département Littérature et art, Ln9-12. A

Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France

Date de mise en ligne : 15/10/2007

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Ce fut au milieu de cette étonnante activité broni fut frappé, comme d'un coup de fo:

Ce fut au milieu de cette étonnante activité que M. Fabbroni fut frappé, comme d'un coup de foudre, par la nouvelle que ce cabinet, qu'il préférait à toutes ses autres occupations, qu'il préférait aux honneurs et à la richesse, avait été confié à un autre. Ceux-là seulement doivent comprendre son chagrin, qui savent que, pour un esprit qui une fois a goûté les douceurs de la culture des sciences, tous les autres travaux, quelque recherchés qu'ils puissent être du commun des hommes, ne sont plus que des corvées, auxquelles il se soumet pour pouvoir se livrer avec une influence plus forte et des succès plus assurés à son objet principal, Cependantla reine d'Ëtrurie était destinée elle-même à éprouver encore à un plus haut degré les rigueurs de la fortune. Le 22 novembre 1807, les ministres de France et d'Espagne signifièrent que la Toscane était réunie au grand empire, et lui donnèrent, pour toute consolation, l'espoir d'un dédommagement qu'elle n'a obtenu que longtemps après ..et dans des circonstances qu'il n'était pas facile alors de prévoir (1). De toutes les contrées soumises, pour un temps, au pouvoir de la France, la Toscane fut peut-être celle qui eut le moins à s'en plaindre. Un chef qui se faisait vanité d'en tirer son origine mit à honneur de ne la point traiter en province conquise; il conserva et agrandit plusieurs de ses institutions; il en fit payer intégralement les dettes en domaines d'une valeur supérieure au capital pour lequel on les donnait. Une (1) t'afjftmit)' de Vienne en )8t'i.