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Titre : Le ménagier de Paris, traité de morale et d'économie domestique composé vers 1393 : contenant des preceptes moraux, quelques faits historiques, des instructions sur l'art de diriger une maison, des renseignemens sur la consommation du Roi, des princes et de la ville de Paris à la fin du quatorzième siècle, des conseils sur le jardinage et sur le choix des chevaux, un traité de cuisine fort étendu, et un autre non moins complet sur la chasse à l'épervier,.... Tome 2 / par un bourgeois parisien ; publié pour la première fois par la Société des Bibliophiles françois

Auteur : Albertano da Brescia (12..-1270). Auteur du texte

Auteur : Bruyant, Jean. Auteur du texte

Éditeur : imp. de Crapelet (Paris)

Date d'édition : 1846

Contributeur : Renault de Louens. Traducteur

Contributeur : Société des bibliophiles français. Éditeur scientifique

Sujet : Économie domestique -- France -- 14e siècle

Sujet : Morale -- Famille -- France -- 14e siècle

Notice d'ensemble : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb33483212d

Notice d'oeuvre : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb12145427s

Type : monographie imprimée

Langue : français

Format : 2 vol. (LXXXVIII-240, 382 p). ; in-8

Format : Nombre total de vues : 384

Description : [Mesnagier de Paris (français). 1846]

Description : Comprend : L'histoire de Griselidis, Melibée et Prudence ; Le chemin de povreté et de richesse

Description : Appartient à l’ensemble documentaire : GTextes1

Description : Collection numérique : Patrimoine gourmand

Description : Appartient à l’ensemble documentaire : CentSev001

Droits : Consultable en ligne

Droits : Public domain

Identifiant : ark:/12148/bpt6k831118

Source : Bibliothèque nationale de France, département Littérature et art, Z-54977

Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France

Date de mise en ligne : 15/10/2007

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petis oiseaulx, et en la cage Chariot1 si font', scilicet mourut en 1441 (Sauvai, II, 146). Il passa ensuite à Robert d'Estouteville, prévôt de Paris (mort en 1-479), qui payoit les douze deniers de cens pour les murs en 1472 et 1476 (S. III, 403 et 425. Il avoit toutefois une autre maison à sa fie rue de Galilée. Ib., 338). C'est sans doute à cause de Robert d'Estouteville, et peut-être de son fils Jacques prévôt de Paris après lui de 1479 à 1 509, qui a pu posséder le même hôtel, que cet hôtel fut alors appelé et est désigné sur le plan de tapisserie (commencement du xvic siècle) sous le titre d'Sostel du Prévost de Paris. Sauval dit bien qu'il appartenoit en 1 533 à leur cousin Jean d'Estouteville, aussi prévôt de Paris, mais il n'en donne pas de preuve. II n'en donne pas non plus au sujet de l'attribution qu'il fait (II, 152) de ce même hôtel à l'amiral de GraviUe, mais cela est très-probable. On sait en effet que l'amiral de Graville petit-fils de la fille de Jean de Montaigu, jouit de tous ses biens, et l'on voit en outre dans Sauvai (III, 629) que Pierre de Balsac son gendre, et Anne de Graville sa fille cette femme célèbre comme poète et comme bibliophile ( voy. les Femmes célèbres de l'ancienne France, par M. de Lincy) avoient payé les douze deniers de cens pour les vieux murs de la ville, et par conséquent très-probablement possédé et habité cet hôtel. Ils en avoient transporté la jouissance à Guillaume le Gentilhomme, avocat en parlement, qui payoit le cens en 1973. Si Sauval ne s'est pas trompé quand il a dit (II 152) que cet hôtel appartenoit en 1533 aux héritiers de l'amiral de Graville et à Jean d'Estouteville prévôt de Paris, il y aurait lieu de croire qu'il avoit alors été divisé. Aujourd'hui, si l'on entre dans le Passage Charlemagne (rue Saint-Antoine, 1 03, et rue des Prêtres-Saint-Paul 22), on arrive après avoir fait quelque* pas dans une cour spacieuse et l'on voit une belle maison bâtie (suivant toute apparence, par l'amiral de Graville) sur l'emplacement de l'hôtel du Porc-Épic. On y remarque une charmante tourelle, mais l'ensemble de cette élégante construction est défiguré par l'adjonction d'une quantité de replâtrages modernes L'hôtel d'Aubriot, auquel succéda celui-ci, occupoit tout lé coin de la rue des Prêtres Saint-Paul (depuis une poterne ouverte dans les vieux murs) et de la rue Percée, à peu près jusqu'à l'emplacement actuel du 8 de cette rue, devoit finir la censive de Tiron ( en 1 41 8, jusqu'à l'hôtel de Galeran de Montigny, chevalier, de la maison du duc de Berry, massacré lors de l'entrée des Bourguignons) Son jardin, compris aujourd'hui en partie dans le collège Charlemagne (d'abord maison professe des jésuites)-, s'étendoit jusqu'aux anciens murs et les suivoit jusqu'à la rue Saint-Antoine, à la hauteur environ de la rue Culture Sainte-Catherine. 1 Cestsans doute le nom d'un bourgeois de Paris, mais je ne comtois rien sur ce nom. Var. B sont.