Toute venoison fresche sans baciner se mengue à la cameline.
Oés rosties à l'aillet blanc en yver, ou à la jance. Et nota que en Aoust et Septembre, quant les oisons sont aussi grans comme père et mère, l'en congnoist les jeunes à ce que quant l'en appuie son poulce sur leur becq, il fond soubs le poulce, et aux autres non.
Item, nota que oisons mis en mue, se ils sont bien petis, ils engressent jusques au neuvième jour, et après ameigrissent mais les oés engressent toujours sans défrire1; et soit Fun> soit l'autre, il les convient tenir seichement et garder de mouillier leurs piés, ne estre sur lictière moitte, mais finement seiche et garder de baigner ne mengier verdure, et ne voient point de clarté, et soient peus de fourment cuit, etabeuvrés de lait meigre ou de l'eaueen quoy le fourment aura cuit, et ne leur convient donner autre buvrage, et soieut peus de bonne avoine.
A Paris, les oiers engressent leurs oisons de farine etc. •
Chapons, géubtes, faisandés de deux ou de trois jours, embrochiés, flambés, et rostis, mettez au veriju* avec leur gresse; bouly, à la poictevine ou à la jance. Poucins gros comme hétoudeaux en Juillet, tués » Diminuer, perdre de feu* graisse. ̃ Ici l'auteur répète dan* les nrfmesterme» ce qa'U a dit p«gefi8+ ligne dernière.
3 Ce -mot ̃> trouve dans ton» les on»iagei de enisme et «^économie mnle, mai» il nV* niUléçàrtshiMhieiit expliqué. Il ûgnifie ou Atttè»jeames chapons <V»«r *Kce» qui le traduit par capus juniol) an plutôt <J«s ponlet» d^m «nm» «à peu plus, «or le point d'être chapon»*» {Jfcfaoa natiîjuê, 1870,28 «^- Le G. $• «uidomie cette «weettep» 18» •upprime les trois premiers mirts Poueint gros comme.