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Titre : Mémoires sur la librairie et sur la liberté de la presse , par M. de Lamoignon de Malesherbes,... [Publié par Antoine-Alexandre Barbier]

Auteur : Malesherbes, Chrétien-Guillaume de Lamoignon de (1721-1794). Auteur du texte

Éditeur : H. Agasse (Paris)

Date d'édition : 1809

Contributeur : Barbier, Antoine-Alexandre (1765-1825). Éditeur scientifique

Sujet : Liberté de la presse -- France

Sujet : Censure

Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb30865861m

Type : monographie imprimée

Langue : français

Format : 1 vol. (XIV-435 p.) : fac-similé ; in-8

Format : Nombre total de vues : 452

Description : Appartient à l’ensemble documentaire : GTextes1

Description : Contient une table des matières

Description : Ouvrages avant 1800

Droits : Consultable en ligne

Droits : Public domain

Identifiant : ark:/12148/bpt6k83094h

Source : Bibliothèque nationale de France, département Droit, économie, politique, F-39392

Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France

Date de mise en ligne : 15/10/2007

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il en sera de ces délits comme des autres, e$ ils ne resteront pas impunis. Il faut admettre une grande différence entre la nécessité de punir les fautes, et celle de les prévenir. UnlloîLégisîateur ne doit que justice à ses sujets'; il empêche les crimes s'il le peut,' mais le plus souvent sa puissance se réduit à pronon. cer des peines qui intimident les délinquans. Je conviens que le tort .qft'a fait un livre ne se répare pas par:la punition dé l'Auteur j tnais ce n'est pas le cas particulier qu'il faut considérer, et, dans le point de vue général, je crois certain que la condamnation subie par un Auteur sera bien autrement efficace pour empêcher les grands abus, que les difficultés d'un Censeur qu'on peut souvent tromper. On m'objectera qu'il y a des délits en matière de Librairie qui ne doivent point étre portés en justice réglée, soit parce que c'est le Gouvernement qui' a intérêt de les punir f soit parce qu'il y a des circonstances qui ne permettent pas de donner trop d'éclat à la. punition..

Mais ce que je propose n'empêche point l'usage des ordres particuliers émanés de l'autorité immédiate du Foi- Rappelons tout SU droit commun j considérons un imprimé coàiine un manuscrit répandu dans le public. S'il