vilégés exclusifs dès Libraires français. Par- là un perdrait une branche de commerce considérable, ou plutôt on donnerait aux étrangère un commerce actif, désavantageux à ia France 5 et bien loin de produire aucun bien pour là religion ou pour les moeurs on aurait encore moins' de retenue à attendre d'un Libraire étranger que d'un regnicole. ̃ >Ainsi nOn-séulement je crois qu'en défendant trop de choses, aucune défense ne sera' exécutée 5 mais je vais jusqu'à penser qu'il sè~l'ait dangereux de faire exécuter rigoureuse-1, ment les défenses parce que cette rigueur ouvrirait îe commerce étranger plus abusif ertccjre que celui qui se fait en France, et au- quel 11 sera toujours plus difficile d'apportef du remède»
VôiiA donc les 'principe* fondamentaux que f ai àttnoneés ̃̃̃'̃̃̃
it>;Rëridreles Auteurs résponsablesdéîèuri ouvrages la cehsiire. :'̃̃̃: Je crois en. avoir établi lâfiécessité il fàiié^ ou que; ce soit l'Auteut ^ovt quecé soit leCeit+ èeur: qui en répôndei -îl est jplws juste que ce Soit r'Atitëurj parce que le Censeur peut' être surpris, qu'il est mêfïïe'très^aisé qu'il lé soi t > -au lifà que l'Aïrt-eur n'ignore jamais qu'il est