Rappel de votre demande:


Format de téléchargement: : Texte

Vues 326 à 326 sur 452

Nombre de pages: 1

Notice complète:

Titre : Mémoires sur la librairie et sur la liberté de la presse , par M. de Lamoignon de Malesherbes,... [Publié par Antoine-Alexandre Barbier]

Auteur : Malesherbes, Chrétien-Guillaume de Lamoignon de (1721-1794). Auteur du texte

Éditeur : H. Agasse (Paris)

Date d'édition : 1809

Contributeur : Barbier, Antoine-Alexandre (1765-1825). Éditeur scientifique

Sujet : Liberté de la presse -- France

Sujet : Censure

Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb30865861m

Type : monographie imprimée

Langue : français

Format : 1 vol. (XIV-435 p.) : fac-similé ; in-8

Format : Nombre total de vues : 452

Description : Appartient à l’ensemble documentaire : GTextes1

Description : Contient une table des matières

Description : Ouvrages avant 1800

Droits : Consultable en ligne

Droits : Public domain

Identifiant : ark:/12148/bpt6k83094h

Source : Bibliothèque nationale de France, département Droit, économie, politique, F-39392

Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France

Date de mise en ligne : 15/10/2007

Le texte affiché peut comporter un certain nombre d'erreurs. En effet, le mode texte de ce document a été généré de façon automatique par un programme de reconnaissance optique de caractères (OCR). Le taux de reconnaissance estimé pour ce document est de 75%.


nissent le Palais, n'impriment et ne vendent' que âe-s Arrêts, des Factum, quelques Traités de Jurisprudence pratique tels sont aussi ceux qui n'impriment que des Almanachs, des H-, yres d'Heures, etc.; ceux qui impriment pour les Collèges les ouvrages classiques à l'usage des Maîtres et des Écoliers.

Il y en a encore quelques autres qui sont adonnés uniquement à quelque branche du commerce de la Librairie.

Enfin, il y a des Libraires, riches propriétaires des priviléges des anciens livres qui n'emploient leurs presses qu'à en faire de nouvelles éditions. Je conviens que tous ceux-là ne font pas de fraude ils n'ont pas besoin d'en faire. ̃

Mais il n'en est pas de même des autres Libraires, qui sont le plus grand nombre. Leurs spéculations sont d'acquérir le manuscrit d'un Auteur, en tâchant de prévoir le débit qu'il aura, et leur fortune est d'en trouver qui aient une grande vogue. Quand ils.ont vu que, depuis lorig-tems, ceux qui ont bien fait leurs affaires le doivent à des ouvrages pour les-; quels il n'a pas été donné de permission, il n'est pas étonnant que tous .aient voulu prendre le même parti. “• Ceux qui craignaient de se compromettre