C'est ëfïèctiveriient ce qui arrive surtout pour les livres d'Avignon, que, depuis 1746» on fait passer paf l'Auvergne. Ainsi le- régleinëni gêne les iiifjrjàifes de bonne fo! et né nuit point' aux contrebandiers j et il n'a été sûreriient rendu 'C|«ê' parce que les Libraires de Lyôrl et ceux de; Paris ont été les seule èônsuités les tins \> parce qu'il 'était' question d'abus" quî se cô'ftVmettâiènt par Lyon,' et ?okqùèls oli v0ulâ*Ê:fëMjécKer j 'et lès' âutres> parce qtfjiâsont lé plilSià "portée de cèu* qui font lés régiënïehsyytquê^ par cette raison ils ©tft toujours "été consultée, et ert ont toujours abusai-' '̃ 'i: -̃• i ';i'!i' v :• ̃•••••> Dans cette drcc-hsfa'hce ci j le règlement t «ju'ils tont' obtëKit détruit, eh grande partie^ îe cô'nitnëi'cé dtéitduf0 'autre ville que Lyon' et Paris; ̃̃îét éela 1-Seifc si vrai ) quèîés Libfairéi cU Hti%*iiïit'"$ëûil 0ù3t'-ihêmès le tort ^uî en ré- sultait' p'oùr èu^vEtSfecHVe'nïent j 'ils rie firent pas dttenfiâfi y lô'rstlë là réddctiOri dé l'ûrtîele| que réicéptîori admise en leur faveur notait |>as entière. On a excepté les livrés destinés h VàrUfët tiùk éeux qui vieniient de Paris pdur d'autres defetinàtiôns.' Quelques Libraires de Pârisont donné dé§ Mémoires à ce sujet, dans lesquels' ils' 'articulent le tôrt queJa Visité de Ityô'tf! feïïà 'léu'r'- côin'rrierce i jco'niJTié si elfe,