ficuîtés aux iraudeurs et les faire quelquefois «découvrir et punir c'est aussi pour cela que- j'ai dit tant de fbls, dans les premiers Mémoires,' qu'aux moyens de police, Hen fallait; joindre un autre, qui serait de faire très-peu de défenses pour ne pas exciter la cupidité des fraudeurs. Et pour revenir à notre objet lors- qu'un homme sera assez passionné pour vouloir dépenser beaucoup pour l'entrée d'un litre, il le pourra en sacrifiant le prix auquel h caution aura été estimée, et il le pourra également par mille autres moyens j jnais» comme le plus grand nombre des fraudeurs ne sont excités que par l'appât du gain, ilss n'abuseront pas d'une voie qui leur deviendrait fort dispendieuse, • ̃ L'autre difficulté vient des Uvres qui enJrent en petite quantité f soit dans Paris, soit dans les' Bureaux des frontières. Un voyageur porte cinq ou six volumes avec lui pour < s'a-. 'N, muser et s'occuper dans sa route il n*est; pas possible de les saîsir ni d'avoir dans chaque Bureau un homme capable de les exaraùner.. Cependant il est certain que quand un livre est désiré du public, comme était l'année pas- sée le poème scandaleux de iat Puçéllë. > l'é- didon entière entrera bientdtdansleRoyaume,