verainement, injuste qu on les.otîh'geiuô' les envoyer à Paris pour subir cet- eiàinen: pendant qu'eux-mêmes restent. en^Picar'die bu vont en Flandre en Champagne ou ailleurs y sans passer par Paris de là beaucoup d'ent-ï barras dans le Bureau des Fermes de' petites injustices' continuellement îrépé-» tées, et beaucoup de mauvais propos tenus par des étrangers contre cette partie d-admi-» nistration, qui est la première qui les fiappS en arrivant en France. Il n'y a auc'ïiniliabi+ tant de Calais qui ne soit frappé, de cet abus et je crois que l'Intendant Ulé' la.' province attestera volontiers, qu'il est' nécessaire d'y remédier. ̃;̃̃>•̃• .ri w::j> A Besançon, au contraire on ne connais* sait aucun règlement il y a quelques àn^ié*eîâ, Cette ville n'est point comprise "dansrlës villes d'entrée, cdmmé d. 1 } ce,i d'entrée, comme nous dirons "cl4aprè$ j ce^ pendant les livres y -entraient- librement1/ et n'y .étaient sujets à aucun .r'ex'âSn'çn.ia Feu M. l'Archevêque de Besançon: eh porta des plaintes à M. le Chancelier. M. de Beauirrôïjt, qui était alors Intendant, • et M.de' Boiriès ? 1 qui lui a succédé, ont depuis ce tems-là donné des ordres sévères j et l'ancien aUus^nVxistei plus. Mais ce 'qui se passaità Besançon a Vu* renient lié» dans beaucoup 'il'atitrea < filles jj