tout le monde, jusqu'aux paysans, sait lire, et où chacun se pique de savoir penser. II faut donc recourir à des voies plus douces et n'user de l'autorité qu'avec précau» tion. Il faut opter entre les difFérens incorvéniens, et n'opposer de résistance qu'à ceux auxquels il est nécessaire et possible de re-= inédier.
Je conviens de tout le mal que peuvent faire les livres de parti je passe qu'il soit nécessaire de les arrêter; mais cela n'est pas ¡ possible au moins quant à présent.
Au reste, tout dépend de cette impossibilité et sur cela il faut encore consulter le Lieutenant de Police. S'il a des moyens que aient pas eus ses prédécesseurs pour décou-1 vrir l'imprimerie de la Gazette ecclésiastique et les autres imprimeries clandestines, qu'il les emploie mais si ses recherches sont inu^. tiles si l'autorité qu'il a dans Paris n'est pas suffisante, il faut en revenir à ce que J'^i proposé, f