de Rousseau etc. il vaudrait" certainement mieux les supprimer si on le pouvait. 5 niais quelle sera à cet égard la règle certaine au la borne fixe ? C'est là que consiste la difficulté..
Quelques gens de bien que je crois trop rigoristes y iraient jusqu'à défendre tout ce qu'ils croient trop propre à inspirer de la tendresse. Je ne crois pas qu'aucun homme d'État adopte cette sévérité. Pour moi, je m'arrête à une règle i cW que pour faire respecter les défenses-, il ne' faut faire que celles qui pourront être exécutées, et qu'il vaut mieux tolérer ce qu'on ne peut pas ém'pêchèr, lf ̃ "> ̃ '»;\ '•' !< J'ai dit qu'il mityt de làcôMfôb;àHdé deslivrée comrae';d'e' toutes les! àu'trësP L,i prohi- bitioil est iirtï(iîé; s'il y a! un grand «atVraki à1 la fraude. L'ôbscéMté peut être),' sillon! totalement arrêtée ?tù Moins bekticmp •'£&&&< p parce qu'il est possible1 dè'dééer'ri'é* dô's'pfeîfles;' '1, ',j r
très-graves j hlfeié1 la d diicèiii' > :dè iiobjfioeftrs né 'permet pâ'sK d'é'A *pt cJnbniié^ dé" pareille^ contre les ouvrages libres oïi!t|èéi1cieu3É y et t dès-lors toùteslës bafrîèifeS ïêrbfhtfeHëhfés> » d'autant pins que ces ouvragés sont cëtfx' dôn^P lé débit est le'plns ^"rômpt et lè'fîltiJ àSéùîré^ dans tous les tèrtisj 'parce 'qu'ils sonfcà" Içip'or-^ i