d la ~<po<Mon de la preaM, ~e co< écA~oaf, ~n«<m~ toute la durée de la guerre, une mensualité de deux cent m~<e /hm<*< dehors de ce qu'il fait pour les bulletins financiers. ~~n~ M. de VaRNEmL. » Je considère pour ma part ce billet comme désns treux pour celui qui l'a écrit, et je le conserva pré. cieusement comme pièce n* 1 du dossier.
Je partage l'avis de Votre Excellence sur Fétrangeté de la démarche faite par le Syndic. Je lui ai dit qu'il aurait dû. ou me confier une note cachetée < pour Votre Excellence, ou écrire à M. ~tCHNEGRADSKY, qu'il a le plaisir de connattre. C'était là une i voie directe. Evidemment 11 a cru bien faire, agir dans l'intérêt du marché de Paris, mais c'est un homme léger et violent, grisé par le succès, et qui commet des inconséquences.
Dans !e cas même où la lettre de Votre Excelj lence me mettrait dans !a position de devoir me i concerter avec VERNEUH., je m'entendrai toujours avec RouviER, qui me parait un facteur plus important que le Hofmakler atteint de mégalomanie.
Celui-ci, comme je m'en aperçois ce matin, véritable hanneton, a dû causer avec des journalistes (DRUMONT, de la Libre Parole, entre autres) et cela 1 ne me facilite pas notre tAche. Beaucoup de prix est attaché aux annonces de tirages que nous avons nccordées au ~t~n, par l'intermédiaire de VFRNFUIT,. Ne voilà-t-il pas que la Libre Parole demande aussi des annonces de orages « sur le pied du traitement !e plus favorable cette (phrase est celle dont V<mNEML s'est servi pour me narler du <f<tM«. De plus, i dans les bureaux de rédaction, on parle d'une action du gouvernement russe. VERNEUtL peut se croire un ami en tout cas, c'est un ami très maladroit. Votre très obéissant serviteur,
A. R~FPAMVïTCH i