M. Npïjoov, je l'ai p~é dp n~ pa< Ma ~amm~ dans sa lettre. Je ne tiens pas à être connu comine un empêcbpmr et une entrave aux expériences; j'ai assez crié, inutilement d'ailleurs, contre EFFRONT (1), contre la Revue ~HMe de HANSEN et de MANouiLov, sans réussir à empêcher les prodigalités super~ues et coûteuses inaugurées sous des ministres disparus. La République Argentine et le Brésil dépensent des sommes très considérables pour faire connaître leur situation économique et attiMT les capitaux. Les autre§ E:taf~ dépendent d~n~ tes circ<m~ano~ ~aves, pap ~xemp~ l'Autnçhe ~an dern)er. pour nous, ce rut p!u~ facHe quand il y put comme ministres, dea hommes comme Ro~v~, ETi~NN~ qui comprennent 1~ nécessités del gouvernement. L'ambassadeur est a~ourd'hm d~n~ rid~ que c'est lui qui a sauyé sttuatfion d)e notre crédit en ~04-1905. n veut bien d~re « nou~ ?, ma)is c'est par poHte&se.
Votre très obéissant serviteur,
A. RAFFALOVITCH.
EXTRAtT PU ~APPQRT PR M, EpFRQNT
Le 29 <f~cem&re/9 /onu~
Lors des fêtez du nouvel an d'ici, j'ai eu la visite de M. Jules MEULEMANs, le directeur de ta ~c~He Dip/oma<~ue. Celui-ci est venu me porter ses doléances en disant oue depuis nombre d'ann~es~ la ~ue Dip~o~a~~Me défend dans ses colonnes les intérêts dp la Russie tant an point de vue pojitigue q~'au pp;nt de vue anançier ef, ce Utre. il SQ~c~C défaire comprendre ia ~<c Z?~a~Me parm~ tes ~our. (t) Ep~o~T était Mpréaeatant de l'nee Ï~MoMP~ RtM~,