L'ADIEU
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Dans le Tout-Paris dont ils faisaient partie à bon droite on ne parlait jamais de M. et M°*~ Dé- sauhiers sans faire suivre ou précéder leur nom de celui de M. Okampo, et cela sans rail- lerie aucune, sans le moindre sous-entendu malicieux. C'était un vénérable ménage à trois, consacré par le temps~ admis par le monde. Lorsqu'on gravit une montagne, rivé à un certain nombre de mëtres au-dessus S~ du niveau de la mer, on rencontre une nou- vellc Core; de même, à certaines hauteurs so~ ciales~ la morale change. Portant un nom historique, nls et petit-fïls d'anciens ministres, et ayant hérité d'une des plus grosses fortunes du règne deLouis-~M-~ lippe, M. Louis Désaubier~ – i) s'appela~