Seconde Partie. i
_8
II y a des Medecins qui fe font fort étendus, fur le Temperamment des Sexes a~ désavantage des femmes &:oni fait des difcours à perte de veue pour montrer que leur Sexe doit avoir nntcmperammenttout à fait different du nôtre, &: qui le rend inférieur en tout. Mais leurs raifbns ne font que des conje<~ure& légères qui viennent dans Fc~pric de ceux qui ne jugent des chofes que par préjuge fur de fimples apparences.
Voyant les deux Sexes pfus~ di~inguez pour ce qui regarde les fonctions Civiles que celles qui leur font particulieres ils fe font imaginez 3 qu'ils dévoient eftre de la (brie y 3e ne discernant pas auczexa&emencce qui vient de la coutume & de l'éducation d'avec ce que donne la nature, ils ont attribué une mêmecauHcout ce qu'ils voyoient danst~ focl~tc~ J feSguranc que Dieu en
< P 4
.y«~
MM!~t"
~MM~Ht.