tac contraire que je nomme im-
perfeûion.
Ainn un homme eu: parfait à
mon égard lorfqu'it a cour ce qu'il luy faut Celon hn~icudon divine pour produire 6~ pour recevoir les effets auxquels il en:
defHné, il cfHmparfaic,!orJ~ qu~il a plus ou moins de parries, q~ii n~en: nece~ire ,ou quelque mdifpontion qui rdo~ne de fa
C~cn: pourquoy ayant 'e~e
~or~e de forte qu~l a befoin dahmens pour~:bfi~er je ne conçois pas ce besoin comme ~ne impeLfe~ion, non plus que la nece~e attachée a l'ufage des alimens ,que!e ~pernus forte du corps. le trouve ainfi que toures les creatures font e~Iement parfaires torfqu'eMes fontdans leur e~at naturet ordinaire.
Il ne faut pas confondre la
perfe~ion avec la nobtenc. Ce ïo~ (tcux cho&s bien di&ren<