et depuis ce temps }'ai suivi le régime en us~ge à quelques retours près, vers mon ancien système pythagorique.H faut avouer que la raison est un agent trës-commode, putsqu'el!? trouve ou invente toujours quetque précepte plausible pour justifier tout ce que nous voulons faire! Extrait des JWtOtrtt du docteur Francklin, adressés à son fils. N. B. Francklin, dans son charmant ouvrage du Bon ~fo~Mt Richard, semble avoir eu l'intention d'imiter les lois morales de Pyt~agore. Pythagore et Franklin y font preuve du meilleur esprit. Fu~ETtERE (A.). L'Y était, selon Pythagore, un symbole de la vie, à cause que le pied représentait l'enfanre, et que la fourche signifiait les deux chemins du vice et de la vertu, ou l'on entrait, ayant atteirt l'âge de la raison. Dictionnaire.
G.
CALATES. Peuple d'As!e, ~dhéroyent à l'opinion de Pythagoft!, croyant que les ames passoyent un corps en autre.
CI. GuiCHARD Jtf Funérailles, ni~ page t.
GALEKUS. Dans son TfW< <<< la coaa<Mt~<ïact et de la cure des maladies de /'<HB<, nous assure que tout tes jours il lisait matin et soir les vers de Pythagore ( <MrM c~rmM~ ) et qu'après les avoir lus, il les récitait par coeur.
DACîER, ~-m<!MM sur le CoaHnMMtr< d'Hiéroc~es.
GAHt.iE. Pythagoricien eii cela qu'il emprunta à Pythagore sa découverte du mouvement ie la terre autour du soleil.
CASSEKDt. FvtA~orajaexae )KM~<fM ~/t<rMt« ~<<MCtpZMtt)B suam<~Mtftf.
.P/HrM!tMfOf'~jM<M<n<fM<a<&MtpM tradiderunt ~««~fAo~o~Mt ` <itCM< JH?tt. ~M JEptC~t, M- p. tt~.
CAUDEKTfU~ (Pagan. ), auteur de <~ Pyt~OMt~ <ta<m<!rt<m <Mn~mt~r~MOtte. PtfM, ta-t~t4
GAURYCUS (Pom.) Lei;islatores veropo~Mt </«rMttmt/M<ntnt. Pythagoras Samius, T<!t }MMto ~MPerto 7!oM<!< r~aa~tt, in ultimâ jM~<ï< orâ circa .AI~Mpt MftM! et < rotoneM ~At/o~opAM~ ~r~/e~~j. C'nnc'n bene <te beate y~ea~t normam <ïHf<M y<Mtt«t A<'j)fttM<tn* complexus est. M- Acmae, t~t.
GAUTIER (H.), architecte.ingénieur et inspecteur des grands chemins. Pythagore s'appHqusit à représenter au peuple de vivre dans la vertu. S'appliquait à policer les villes, à mettre tous les biens en commun. Il fit d'excellens disciples législateurs. Pythagore et Socrate croyaient qu'il n'y avait rien de certain.
Pythagore déconïeUlait de rechercher les emplois et d'y nommer. Ttom. LI de la ~tt/totAe~Mt du philosophes, M-8°. Paris, t7~ GEBEUM. Les premiers législateurs, les premiers philosophes. s'étaient exprimés dans un langage allégorique, voilant leurs leçons sous des emblèmes et des énigmes propres à les rendre plus piquantes, plus vives, plus animées, afin qu'elles fussent recherchées avec plus d'empressement, et retenues avec plu de facilité.
Par cet artifice ingénieux ils rendaient sensibles les vérités les plus abstraites; ils changeaient en images et en tableaux les propositions les plus sèches les plus difficiles à saisir; la vérité devenait plus aimable, plusdouce, moins offensante. etc.
Génie <t//qj'or/ct<e des ~MM~,
GEORGES. Pyth~gore, père des Hlosofes et tubtit rechercl.eur <}<*