foi, nous verrons Mais les luttes, les transes, les injures, les larmes, les cris,, les vengeances, l'espoir, la pitié, la terreur de cette noble fille éperdue, ces mégères qui me harcèlent. (Paix, Smolkin! paix, démon (1). Et aussi peut-être ma liberté gagnée, ma tête sauvée du joug fatal Clarisse vaincue et me tendant sa belle joue, et moi qui lui dis Plus tard, mon ange Tout ceci vaut bien qu'on y pense, et longtemps
Otes-en de si doux plaisirs,
Je donne pour rien la jeunesse.
Mais tu ne doutes de rien, et tu prétends, toi, toi mon complice me corriger à ton premier sermon Tu veux fixer le cœur et la volonté de Lovelace, digne Belford comme s'il était plus facile de changer le cœur d'un homme, que de changer son visage Mais tu ne sais donc pas que s'il est trop soudain, le passage du vice à la vertu est aussi dangereux que le passage de l'hiver au printemps mais mon digne oncle ne t'a donc pas dit que ces sortes de révolutions se font peu à peu, comme il a fait la sienne, par exemple, quand il a passé de la jeunesse à la vieillesse, de la vieillesse à la gravelle, de la gravelle à la pierre, de la pierre enfin au rhumatisme goutteux et de tout à rien, à son neveu, par exemple. Prenez donc patience, mon très-cher, et très-digne, Monsieur la Mélancolie, et laissez faire le pied léger du temps. Nous ne sommes plus au siècle de grâce où l'on se convertissait au premier mot. – Paul, Paul, pourquoi me persécutez-vous a Au reste, vous êtes bien bons, toi et les autres, de vous tant inquiéter de miss Clarisse, et elle vous récompense de la belle façon. Si tu savais la belle opinion qu'elle a de vous quatre. vous n'irez pas vous en vanter, je vous jure, et toimême tu renonceras à tes exclamations! Nous avons parlé de vous, elle et moi, et à travers ce petit air de dédain qui lui (1) Le roi Lear.