GEOR&ETTE i: 1 CHAPITRE PREMIER
UN INTÉRIEUR. LES MAUVAISES LANGUES. ;S
Il était sept heures du soir, et M. Rudemar, ancien
tabellion de Rambervilliers, était occupé à mettre ses
pantoufles, à desserrer les cordons de son gilet, à ~e
ôter sa perruque. Enfin, M. Rudemar se mettait à son aise, comme quelqu'un qui n'attend plus aucune
visiteetquivabientôtselivi'ëraurepos. Lorsque M. Rudemar eut fini, il avança son grand
fauteuil devant la cheminée, s'étendit dedans,.et or- donna à Gertrude, sa servante, de venir soufflerIe,
feu on était alors au mois d'avril, et le temps était
-très-froid.
-très Tout en se chauffant,notrehonllÍ1eét ses jambes sur les chenets, et semblait se regaMër?d'ua œil de complaisance. M. le`tabellion avait, il r.' là jambe assez bien faite; joigrieià Cft ~%S ·: et vifs, une figure régulière, des; manières~mn~~ ~Bi
un~.fondoux'.et; galant, et vous,n ~qu' 31. ~àuàei~ar, malgré ses' cinq recherché par les petites-maîtress .,Ma~s o1Ítr~ lesavant~ges physiquës~a~posséd~~d&