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ÉÉANCIERS DE L'ËCHAf ADD
?. PROLOGUE
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`' `' CE QUI SE. PASSAIT
SUR LA PLACE DE LA ROQUETTE UNE NUIT DE NOVEMBRE Deux heures du matin venaient de sonner.
Il faisait froid, humide, gluant; dans le brouillard in,.( tense qui tombait, on entendait le bourdonnement sourd de la dont la place Je la Roquette était encombrée. A peine distinguait-on à trois pas. Des agents et des ser;,s~ gents de ville contenaient .les curieux, et les empêchaient d-'approcher du milieu de place où six hommes travaillaient.
>0,>' construisaient l'échafaud sur lequel l'assassin Corn il le'Lebr un devait avoir la tête tranchée au commencement du jour.
Un entendait, le bruit sec du marteau frappant sur tes boulons, h heurtement des planches et des madriers; on