Rappel de votre demande:


Format de téléchargement: : Texte

Vues 38 à 38 sur 334

Nombre de pages: 1

Notice complète:

Titre : Les travailleurs de la mer. Tome 1 / Victor Hugo

Auteur : Hugo, Victor (1802-1885). Auteur du texte

Éditeur : A. Lacroix, Verboeckhoven (Paris)

Date d'édition : 1866

Notice d'ensemble : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb30625597m

Notice d'oeuvre : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb119920811

Type : monographie imprimée

Langue : français

Format : 3 vol. ; in-8

Format : Nombre total de vues : 334

Description : [Les travailleurs de la mer (français)]

Description : Appartient à l’ensemble documentaire : GTextes1

Description : Collection numérique : France-Brésil

Description : Contient une table des matières

Droits : Consultable en ligne

Droits : Public domain

Identifiant : ark:/12148/bpt6k802187

Source : Bibliothèque nationale de France, département Littérature et art, 8-Y2-964 (1)

Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France

Date de mise en ligne : 15/10/2007

Le texte affiché peut comporter un certain nombre d'erreurs. En effet, le mode texte de ce document a été généré de façon automatique par un programme de reconnaissance optique de caractères (OCR). Le taux de reconnaissance estimé pour ce document est de 87%.


giios en escalier. Klles ont porté sur leur plateforme, vide aujourd'hui, une croix, à moins qu'elles n'aient porto un gibet. Ces pierres sont trèsmalignes.

Des gens fort prud'hommes et des personnes absolument croyables affirmaient avoir vu, près de pierres, Gilliatt causer avec un crapaud. Qr, il n'y a pas de crapauds à Guernesey Guernesey a toutes les couleuvres, et Jersey a tous les crapauds. Ce crapaud avait venir de Jersey a la nage pour parler à Gillitui. La conversation était amicale.

Ces faits demeurèrent constatés et la preuve, c'est que les trois pierres sont encore là. Les gens qui douteraient peuvent les aller voir, et môme, à peu de distance, il y a une maison au coin de laquelle on lit cette enseigne s Marchand en bélail mort ce vivant, vicuv cordage, fer, os et chiques, est prompt dans son paiement et dans son attention. Il faudrait être do mauvaise foi pour contester la présence de ces pierres et l'existence de cctlo maison. Tout cela nuisait à Gilliatt.

Les ignorants scuis ignorent que le pius grand dunjïor des mers de la Manche, c'est le Uoi des