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Titre : Les travailleurs de la mer. Tome 1 / Victor Hugo

Auteur : Hugo, Victor (1802-1885). Auteur du texte

Éditeur : A. Lacroix, Verboeckhoven (Paris)

Date d'édition : 1866

Notice d'ensemble : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb30625597m

Notice d'oeuvre : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb119920811

Type : monographie imprimée

Langue : français

Format : 3 vol. ; in-8

Format : Nombre total de vues : 334

Description : [Les travailleurs de la mer (français)]

Description : Appartient à l’ensemble documentaire : GTextes1

Description : Collection numérique : France-Brésil

Description : Contient une table des matières

Droits : Consultable en ligne

Droits : Public domain

Identifiant : ark:/12148/bpt6k802187

Source : Bibliothèque nationale de France, département Littérature et art, 8-Y2-964 (1)

Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France

Date de mise en ligne : 15/10/2007

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Alors il en sortit des bruits. Ces bruits ressemblaient à des voix. C'est toujours comme cela. Quand on voit, on n'entend pas; quand on ne voil pas, on entend.

La nuit sur la mer a une taciturnité particulière. Le silence de l'ombre est là plus profond qu'ailleurs. Lorsqu'il n'y a ni vent ni flot, dans cette remuante étendue où d'ordinaire on n'entend pas vcler les aigles on entendrait une mouche voler. Cette paix sépulcrale donnait un relief lugubre aux bruits qui sortaient de la masure.

Voyons voir, dit le petit français.

lït il fit un pas vers la maison.

Les deux autres avaient une tello peur qu'ils se décidèrent à le suivre. Ils n'osaient plus s'cnfuir tout seuls.

Comme ils venaient do dépasser un assez gros tas de fagots qui, on ne sait pas pourquoi, les rassurait dans cette solitude, une chevêche s'envola d'un buisson. Cela fit un froissement do branches. Les chevêches ont une especo do vol louche, d'uno obliquité inquiétante. L'oiseau passa de travers près des enfants, en rixant sur eux la rondeur do ecs yeux clairs dans la nuit;