Ils s'approchaient en retenant leur haleine, comme on approcherait d'une bôte.
Ils avaient gravi le roidillon qui est derrière la maison et qui aboutit du côté de la mer b. un petit isthme de rochers peu praticable j ils étaient parvenus assez près de la masure; mais ils ne voyaient que la façado sud, qui est toute murce; ils n'avalent pas osé tourner à gauche, ce qui les eût exposés h vcir l'autre façado ou il y a deux fonôtres, ce qui C;«t terrible.
Cependant ils s'enhardirent, l'apprenti calfatleur «inl dit tout bas virons à C'est ce côté-la qui est le beau. Il faut voir les deux fenêtres noires. Ils « virèrent à bâbord » et arrivèrent do l'autre côté de la maison.
J,es deux fenêtres étaient éclairées.
Les enfants s'enfuirent.
Quand ils furent loin, le petit français se retourna.
Tiens, dit-il, il n'y a plus de lumière. En effet, il n'y avait plus do clarté aux fenêtre?. La silhouette de la masure se dessinait, découpé;: comme a l'emportc-pièce, sur la lividité diffwo du ciel.