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Titre : Les travailleurs de la mer. Tome 1 / Victor Hugo

Auteur : Hugo, Victor (1802-1885). Auteur du texte

Éditeur : A. Lacroix, Verboeckhoven (Paris)

Date d'édition : 1866

Notice d'ensemble : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb30625597m

Notice d'oeuvre : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb119920811

Type : monographie imprimée

Langue : français

Format : 3 vol. ; in-8

Format : Nombre total de vues : 334

Description : [Les travailleurs de la mer (français)]

Description : Appartient à l’ensemble documentaire : GTextes1

Description : Collection numérique : France-Brésil

Description : Contient une table des matières

Droits : Consultable en ligne

Droits : Public domain

Identifiant : ark:/12148/bpt6k802187

Source : Bibliothèque nationale de France, département Littérature et art, 8-Y2-964 (1)

Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France

Date de mise en ligne : 15/10/2007

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L'hommo se réveilla.

Je regarde, dit-il.

Il so réveilla tout a fait et reprit »

J'arrive dans le pays, je suis venu par ici en me promenant, j'ai passé la nuit en mer, j'ai tro.ivé la vue belle, j'étais fatigué, je me suis endormi.

– Dix minutes plus tard, vous étiez noyé dit GiUialt.

Bah l

Sautez dans ma barque.

Gilliait maintint la barque du pied, se cramponna d'une main au rocher et tendit l'autre main à l'homme vêtu de noir, qui sauta lestement dans le bateau. C'était un très-beau jeune homme. Gilliatt prit l'aviron, et en deux minutes la panso arriva dans l'anse du M do la Rue. Le jeune homme avait un chapeau rond et une cravate blanche. Sa longue redingote noire élait boulonnée jusqu'à, la cravate. Il avait des cheveux blonds en couronne, le visage féminin l'œil pur, l'air grave.

Cependant la panse avait touché terre. Gilliait passa le câble dans l'anneau d'amarre, puis se