l'Angleterre de Wellington, mess J.ethicrry dit? s Bourmont a été le traître d'union entre les deuao camps. Une fois il écrivit papauté, pape Clé. Nous ne pensons pas que ce fût exprès.
Cet antipapisme ne lui conciliait point les anglicans. Il n'était pas plus aimé des recteurs protestants que des curés catholiques. En présence dca dogmes les plus graves, son irréligion éclatait presque sans retenue. Un hasard l'ayant conduit à un sermon sur l'enfer du révérend Jaqucmin Hèrodc, sermon magnifique rempli d'un bout ?i l'autre de textes sacrés prouvant les peines éternelles, les supplices, les tourments, les damnations, les châtiments inexorables, les brulements sans fin, les malédictions inextinguibles, les colèrcs de la Toute-puissance, les fureurs célestes, les vengeances divines, choses incontestables, on l'entendit, en sortant avec un des fidèles, dire doucement Voyez-vous, mol, j'ai une drôle d'idée. Je m'imagine que Dieu est bon.
Ce levain d'athéisme lui venait de son séjour en l'rancc.
Quoique guernesiais, et assez pur sang, on l'appelait dans l'île « le français », à cause de son