Rappel de votre demande:


Format de téléchargement: : Texte

Vues 168 à 168 sur 334

Nombre de pages: 1

Notice complète:

Titre : Les travailleurs de la mer. Tome 1 / Victor Hugo

Auteur : Hugo, Victor (1802-1885). Auteur du texte

Éditeur : A. Lacroix, Verboeckhoven (Paris)

Date d'édition : 1866

Notice d'ensemble : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb30625597m

Notice d'oeuvre : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb119920811

Type : monographie imprimée

Langue : français

Format : 3 vol. ; in-8

Format : Nombre total de vues : 334

Description : [Les travailleurs de la mer (français)]

Description : Appartient à l’ensemble documentaire : GTextes1

Description : Collection numérique : France-Brésil

Description : Contient une table des matières

Droits : Consultable en ligne

Droits : Public domain

Identifiant : ark:/12148/bpt6k802187

Source : Bibliothèque nationale de France, département Littérature et art, 8-Y2-964 (1)

Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France

Date de mise en ligne : 15/10/2007

Le texte affiché peut comporter un certain nombre d'erreurs. En effet, le mode texte de ce document a été généré de façon automatique par un programme de reconnaissance optique de caractères (OCR). Le taux de reconnaissance estimé pour ce document est de 87%.


autels, les huguenots ont trois autels; comme ce sont les mômes heures d'offices, la cloche unique sonne à la fois pour les deux services. Elle appelle en mémo temps à Dieu et au diable. Simplification. ·

Lo flegme allemand s'accommode de ces voisinages. Mais a Gucrnesey, chaque rc!igion est chez elle. Il y a la paroisse orthodoxe et il y a la paroisse hérétique. On peut choisir. Ni l'une, ni l'autre. Tel avait été le choix de mess Lethicrry. Ce matelot, cet ouvrier, ce philosophe, ce parvenu du travail, trôs-simple en apparence, n'était pas du tout simple au fond. Il avait ses contradictions et ses opiniâtretés. Sur le prêtre, il était inébranlable. 11 eût rendu des points à Montlosier. Il se permettait des raillcries très-déplacées. Il avait des mots à lui, bi??.rros, mais ayant un sens. Aller à confesse, il appelait cela « peigner sa conscience ». Le peu do lettres qu'il avait, bien peu, une certaine lecture glanée ça et là, entre deux bourrasques, se compliquait do fautes d'orthographe. Il avait aussi des fautes do prononciation, pas toujours naïves. Quand la paix fut faite par Waterloo entre la France de Louis XYJII et