de Meaux. Quelques pauvres diocésains do cet aigle, persécutés par lui lors de la révocation da l'édit de Nantes, et abrités à Guernesey, avaient accroche" ce cadre à ce mur pour porter témoignage. On y lisait, si l'on parvenait à déchiffrer une écriture lourde et une encre jaunie, les faits peu connus que voici s – « Le 29 octobre 1685, « démolition des temples de Morcef et de Nan« tcuil, demandée au Iloy par M. l'évoque de « Meaux. » « Le 2 avril 1G86, arrestation de « Cochard père et fils pour religion à la prière de « M. l'évoque de Meaux. Relâchés les Cochard « ayant abjuré. » – « Lo 28 octobre 1699, « M. l'évoque de Meaux envoie à M. de Pohtchar« train un mémoire remontrant qu'il rirait néccs« saire de mettre les demoiVj'les de Chalandes et « de Neuville, qui sont de la religion réformée, « dans la maison dcs Nouvelles- Catholiques do « Paris. » « Le 7 juillet 1703, est exécuté « l'ordre demandé au Roy par M. l'évoque de « Meaux de faire enfermer à l'hôpital le nommé « Baudoin et sa femme, mauvais catholiques de « Fablaines. »
Au fond de la salle, près de la porte de la