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Titre : Les travailleurs de la mer. Tome 1 / Victor Hugo

Auteur : Hugo, Victor (1802-1885). Auteur du texte

Éditeur : A. Lacroix, Verboeckhoven (Paris)

Date d'édition : 1866

Notice d'ensemble : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb30625597m

Notice d'oeuvre : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb119920811

Type : monographie imprimée

Langue : français

Format : 3 vol. ; in-8

Format : Nombre total de vues : 334

Description : [Les travailleurs de la mer (français)]

Description : Appartient à l’ensemble documentaire : GTextes1

Description : Collection numérique : France-Brésil

Description : Contient une table des matières

Droits : Consultable en ligne

Droits : Public domain

Identifiant : ark:/12148/bpt6k802187

Source : Bibliothèque nationale de France, département Littérature et art, 8-Y2-964 (1)

Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France

Date de mise en ligne : 15/10/2007

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tionne, on lui répond; on l'interroge, il gazouille. On jase avec lui. Jaser, cela délasse de parler. Cet être a du ciel en lui. C'est une pensée bleue mêlée à votre pensée noire. Vous lui savez gré d'être si léger, si fuyant, si échappant, si peu saisis3able, et d'avoir la bonté de no pas être invisible, lui qui pourrait, ce semble, être impalpable. Ici-bas, le joli, c'est le nécessaire. Il y a sur la terre peu de fonctions plus importantes que celle-ci être charmant. La forêt serait au désespoir sans le colibri. Dégager do la joie, rayonner du bonheur, avoir parmi les choses sombres une exsudation do lumière, être la dorure du destin, être l'harmonie, être la grâce, être la gentillesse, c'est vous rendre service. La beauté me fait du bien en étant belle. Telle créature a cette féerie d'être pour tout ce qui t'entoure un enchantement J quelquefois elle n'en sait rien elle-même, ce n'en est que plus souverain; sa présence éclaire, son approche réchauffe elle passe, on est content; i elle s'arrête, on est heureux; la regarder, c'est vivre; elle est do l'aurore ayant la figure humaine; elle ne fait pas autre chose que d'être là, cela suffit, clic édénise la maison, il lui sort par tous