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Titre : Journal de pharmacie et de chimie
Auteur : Académie nationale de pharmacie (France). Auteur du texte
Éditeur : Colas (Paris)
Éditeur : Doin (Paris)
Date d'édition : 1878
Contributeur : Wurtz, Adolphe (1817-1884). Éditeur scientifique
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb34543723x
Notice du catalogue : https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/cb34543723x/date
Type : texte
Type : publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 57609
Description : 1878
Description : 1878 (SER4,T28).
Description : Collection numérique : Originaux conservés à la BU de Paris XI Orsay
Droits : Consultable en ligne
Droits : Public domain
Identifiant : ark:/12148/bpt6k78100m
Source : Bibliothèque nationale de France
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 15/10/2007
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me la montrent moins intense que l'autre, d'autres, en M' vanche, la montrent presque aussi forte. Enfin, dans le rouge, it y a au moine une mince raie que je ne suis pas en mesure d'identifier. En dirigeant la fente de mon spectroscope contre le soleil, j'observe à travers un verre bleu, avec les solutions terbiquet, une bande pas très-prononcée, située dans !o violet (~==~00à 406 environ); elle n'est pas facile A observer s sa largeur est moitié de cette de la bande caractéristique du phitippium! elle parait manquer totalement avec certaine échantillons de ce dernier d'autres en laissent voir une trace. J'ai quelques raisons de douter qu'elle caractérise réellement le terbium, comme M, Soret le croit; it est possible qu'elle indique encore un autre élément, à poids atomique intermédiaire entre ceux du terbium et de l'erbium. Du reste, j'aurai peut-être à revenir prochainement là-dessus.
Je poursuis, depuis quelque temps, l'étude paraUMe des composés du philippium et du terbium, et, dans quatre ou cinq semaines, je serai en mesure de publier un mémoire dans lequel je décrirai au long les procédés de préparation et de pu. rification qui ne peuvent trouver place ici.
Sur le ~ct~t'Mm, métal nouveau de la «!ma~<:< par M. DBLAFONTAME (t).
En continuant mes recherches sur les terres de la samarskite de la Caroline du Nord, je suis arrivé A y découvrir un nouveau métal que j'appelle decipium (de ~Mt'p~MN, tt'umpeut'), Ce métal, qui possède d'abord les propriétés communes à ceux de la cérite et de !a gadotinite, forme un oxyde dont réqui. valent estapproximativement 122 pour laformule DpO (ou bien Dp* 0'== 366); je ne l'ai pas encore assez sépare du didyme pour pouvoir affirmer que sa couleur. est blanche; ces sels sont incolores par eux-même:; l'acétate cristallise trés-facile. ment, et il parait moins soluble que celui de didyme, mais plus que celui de terbium; le sulfate. dëcipio-potassique est peu soluble dans une solution saturée de sulfate de potasse, mais il se dissout aisément dans l'eau.
Le nitrate de dëcipium donne un spectre d'absorption com(t) Note présentée & i'AcadënUe des sciences.