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Nous itérons ici un petit pocme de ce temps, plus précii~ment: du !8 août t67t"'),dupereConuantyn:
~~W<OCM~y~M't'
Soon, die, door Gods bcteid, de ktoeke vinder zijt Van de(er gangen onbewegcHck bewegen,
Hoe *f\t'ere!ds ningeren u gxn mogh' mé of tegen, Hebthsr'eenpahçhei[,voorpogent'a!tertyd.
Hebt ghij het fwaçke werçk, in 'tichudden vande baren, Tot ongevoel gebracht van alles wat het lydt,
Gedenck~watutoe~xtinaUewedervaren,
Die door des Heeren Geett vol Redens krachten ztjt. Stel Vônd en Vinder, Geeft en Raderen te famen '[ Wœr jammer da het Werck den Meetter fou betchamen.
Traduction: ~M~c~Apr/o~.
AÎQn fils qui, par la grâce de Dieu, êtes l'hçureux inventeur de l'invariabilité des o(aUations du pendule, ayez toujours cette con(tance.<bus tes.yeux, que tes pénpéties du monde vous ibient favorabtes ou contraires. Vous qui avez appris à ce taib!e in<trument à être impatlibie dans le. tumulte des flots,' (bngex à..Votre devoir à vous dans toute circonitance, vous qui, animé de l'efprit divin, êtes un être raitbnnaMë "°). Mettez fur le même pied l'invention et l'inventeur, l'efprit et les rouages. Ce ferait bien dommage fi l'œuvre devait confondre le maitre. Comparez la p. 5o5 du T. XVIII où le père Conftantyn, en 1675, donnera à Chriftiaan un confeil du même genre Ne (œvi, magne (acerdos.
'~) Ceci n'est pas tout-à-fsit exact. !) existe deux petits poèmes du père Constantyn adressés à Christiaan qui expriment la même pensée. Nous ne reproduisons ici que le deuxième. C'est le premier (ordre de l'éditeur Worp)qui porte la date t8 août tdy!. L'autre n'est pas daté. 1) semble bien qu'ils aient été composés pre-qu'en même temps.
'°) On peut songer ici la devise de la Maison d'Orange: M~ /?t;~< w w/</M.