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Titre : Oeuvres complètes de Christiaan Huygens. Supplémént à la correspondance varia. Biographie de Chr. Huygens. Catalogue de la vente des livres de Chr. Huygens / publ. par la Société hollandaise des sciences
Auteur : Huygens, Christiaan (1629-1695). Auteur du texte
Éditeur : M. Nijhoff (La Haye)
Date d'édition : 1888-1950
Contributeur : Koninklijke Hollandsche maatschappij der wetenschappen. Éditeur scientifique
Sujet : Huygens, Christiaan (1629-1695) -- Contribution aux mathématiques
Sujet : Huygens, Christiaan (1629-1695)
Notice d'ensemble : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb38949978f
Type : monographie imprimée
Langue : latin
Langue : français
Langue : néerlandais
Format : 23 vol. : ill. ; 29 cm
Description : Correspondance
Description : Autobiographie
Droits : Consultable en ligne
Droits : Public domain
Identifiant : ark:/12148/bpt6k778725
Source : Bibliothèque nationale de France, département Philosophie, histoire, sciences de l'homme, 4-R-788 (22)
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 15/10/2007
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tion ea cum fumma voluptate per!egi/FW~[nous foulignons] in ijs magna feci, et inventionis felicitatem, et accuratam demonnrandi rationem". Le centre de gravité du tedeur d'A~o/ par la conndération duquel Huygens avait commencé, n'avait pas été cherché par delta Faille.
Le grand traité ,,De iis qua: liquido fupernatant." datant de la même époque '~) peut "~) déjà avoir été conçu à Breda. Dans ta lettre aMedenne du aoavril t6~8'~) ChriHiaan dit avoir fait part au profeneur Pell de fes "cubatures ungutarum cy!indrica: et paraboticx": or, c'eit dans la conudération de cylindres flottant obliquement que la cubature ainfi que la recherche des centres de gravité des onglets s'impofent. Ce qu'il montra à PeU avait fans doute été obtenu par ta méthode de Ça valieri: voyez ce qu'il dit à la p. 15 du T. XI (début du Lib. III)., On peut comparer le dernier alinéa du chapitre ,,Mon Archimede" qui précède. Dans l'Appendice IV au contraire '*) il fait ulàge,dans la cpnMération des onglets, de la "optima demonttrandi methodus qua: fit dedu~ione ad abfurdum".
De même qu'aitteurs'~) là où il énonce des théorèmes qui fe trouvent dans Archimede rlep) o~eu~~ *°) it peut avoir confutté Archimède en grec (Rivaltus) mais il peut aufti s'être contenté de l'édition latine de Commandin ~') ou des,,Cogitata phyfico-mathematica" de Merfenne") il fbrmute ces théorèmes à fa manière etendonnedesdémon<trationsoriginates.
Sievin.n'eft pas nommé, mais dans le Lib. II, dans ladémonnrationdu théorème I, Huygens fbnnule l'hypothèfe tuivante: ,,certum e<t in corpore quicfcente quotUbet punda firmari pone ut tamen iHud non commoveatur" ce qui eH une hypothèfe du géomètre de Bruges'~) dont Huygens avait au(n fait ufage dans la confidération de la chaîne pendante'4). Nous obtervons autn que deux figures d'une <eutUe détachée qui fe rapporte au <ujet '!) rappellent ceUes "') d'une Pièce néerIandaHe de la même
s) Comparez la p. 273 du T. XI.
"~) Quoique portant la date 1650.
17) T. II. p. 566.
'~)T.X!.p.204–2to.
'~) P. 422 qui précède.
'°)T.Xt,p.93,note2.
") D'après la supposition de la note 4 de la p. 94 du T. XI. Nous remarquons que les traductions latines des théorèmes ont été empruntées par Commandin à Rivattus.
") Mersenne y donne le titre grec :~t T~ ~f.tvM-
~) Stevin s'en sert dans De Heghinseten des Waterwichts", quatrième livre de sa ~Weeghconst" de t~So, en dèmontrant le paradoxe hydrostatique.
~) Premières et dernières lignes de la p. 39 du T. XI.
'~) Celles de la "Demonstratio" de la note 14 de la p. 99 du T. XI.
~) T. XVII, p. 243, ). 8–t t, et note 6.