een einde moeft worden gemaakt aan eene onregelmatige verhouding, !s. niet te verhelen" (on ne Saurait fe défaire de l'impreuioh que ce mariage était le couronnement d'une liaifon). Mais pour notre part nous ne nous propofons pas d'écrire un roman-Huygens. Outre la préfente note on ne trouvera donc dans notre biographie aucune allufion à des chofes de ce genre. Nous femmes plus ou moins d'accord avec M.e A. Romein-Verfchoor difant dans la courte et intércuante biographie à elle, citée par nous à la p. 533 du T. XXI, que l'on conftate chez Huygens l'économie d'émotions de l'homme dont le génie fut plus grand que la vitalité (,,emotionele economie van den man, wiens genie grooter is dan zijn vitaliteit"). A la p. 15 qui précède nous avons déjà parlé de fa conftitution n-ele. Voyez cependant audi la noie i a de la p. 8 fur le caractère férieux de fon père qui, lui, ne manquait certes pas de vitalité. Comparez aufUl'expreuton de P. Ducaffé dans fon "Effai fur les origines du pofitivifme" (Paris, F. Alcan, logp): ,,exerd(e [par Augufte Comte, fort différent, foit dit entre parenthèfes, de Huygens] d'une véritable économie afective" (p. ïgs, dans le Chapitre ,,Le véritable amour. Peuplement de la folitude"). On peut encore, fi l'on veut, confulter fur Chr. Huygens et fes rapports avec le ,,texe faible" les 1. 8-9 de la p. 600 qui fuit (Journal de voyage) et les T. VII et VIII in voce Haafje Hooft (plus tard M. van Bambeeck).
"') Le frère cadet Philips mourut jeune.