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Titre : Oeuvres complètes de Christiaan Huygens. L'horloge à pendule de 1651 à 1666. Travaux divers de physique, de mécanique et de technique de 1650 à 1666. Traité des couronnes et des parhélies (1662 ou 1663) / publ. par la Société hollandaise des sciences

Auteur : Huygens, Christiaan (1629-1695). Auteur du texte

Éditeur : M. Nijhoff (La Haye)

Date d'édition : 1888-1950

Contributeur : Koninklijke Hollandsche maatschappij der wetenschappen. Éditeur scientifique

Sujet : Huygens, Christiaan (1629-1695) -- Contribution aux mathématiques

Sujet : Huygens, Christiaan (1629-1695)

Notice d'ensemble : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb38949978f

Type : monographie imprimée

Langue : latin

Langue : français

Langue : néerlandais

Format : 23 vol. : ill. ; 29 cm

Description : Correspondance

Description : Autobiographie

Droits : Consultable en ligne

Droits : Public domain

Identifiant : ark:/12148/bpt6k778667

Source : Bibliothèque nationale de France, département Philosophie, histoire, sciences de l'homme, 4-R-788 (17)

Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France

Date de mise en ligne : 15/10/2007

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pouvait prefqu'y entrer. Primitivement il avait une longueur de i i pouces, enfuite il fut raccourci jutqu'a ne mefurer plus que 5, puis pouces; enfin il fut rendu fi court qu'il ne s'élevait que de deux pouces au-deuus du mercure ambiant. Mais dans tous ces cas le mercure du tube defcendait par l'évacuation de l'air, quelque parfaitement que je croyais l'avoir purgé d'air. On ne voyait pourtant, un inftant avant que le mercure commençait à defcendre, point d'air du tout dans le lommct du tube; fe détachant néanmoins de ce fommet, te mercure baidait rapidement. Mais lorique le mercure était tombé quelque peu et qu'on binait rentrer l'air, il rellait toujours à l'extrémité fupérieure du tube un globule d'air peine vifible. [voir la note 2 de )a p. 324J. ~8. Conformément à la proportion de la gravité du mercure à celle de l'eau, le mercure dans les tubes les plus courts aurait dû refier tout aufïi bien en (ufpens, fans defcendre, que l'eau dans le tuyau de 2 pieds et pouces. C'eft pourquoi je doute s'il ne refait pas encore un peu d'air dans le mercure. On dirait cependant qu'il n'y en avait pas puifqu'il ne fe montra nulle part avant que le mercure commença à defcendre.

~9' Il eft bien difficile d'expulfer tout l'air du tube à mercure. Je commençai par remplir le tube, enfuiteje le mis fous le récipient et fis defcendre le mercure, puis, ouvrant le robinet, je le fis remonter. Lorfqu'enfuite je retournai le tube, l'air qui y était ne voulut pas quitter la paroi inférieure et monter, mais dut en être retiré avec un mince chalumeau.

3°- Jamais au(n je ne réutns à faire baHIer le mercure dans le tube jufqu'au niveau qu'il aurait dû atteindre en comparaifon avec l'eau; en effet, l'eau purgée defcendjufqu'à un pouce au-deffus du niveau de l'eau environnante, et le mercure ne defcend que jufqu'a un demi-pouce ou un peu moins. La raifon en <?/?~plus d'air provient de l'eau que du mercure, tandis que l'eau tiède en produit encore beaucoup plus; c'c(t pourquoi cette dernière haine encore plus que l'eau froide '). Car il eft certain que l'air occupant la partie détaifTée du tube, quelque dilaté qu'il foit, exerce pourtant encore une certaine pre~on ').

3'. Comme l'eau purgée fe maintient dans le tube AE [Fig. 42] à une hauteur de 2 pieds et davantage, après évacuation auu) complète que poffihle du récipient S, il s'enfuit que le peu d'air qui refte dans ce dernier exerce encore, grâce à ion étafUcité, une fi grande prefïion fur l'eau D que les deux pieds d'eau nommées font portés par lui 3). Mais on confite que lorfque la moindre bulle d'air (qui cependant fe dilate en ce moment jufqu'à la groffeur d'un grain de chènevis) efl introduite dans le tube EA, le niveau de l'eau defcend jufqu'en E et s'y arrête, ED ayant la hauteur d'un pouce feulement. Nécedairemeni cette petite quantité d'air, quoique dittribuée fur un efpace

') En marge: Om te sien ofdtt de reden is, moestmen een weijnigh water boven het quicksilver