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Titre : Oeuvres complètes de Christiaan Huygens. L'horloge à pendule de 1651 à 1666. Travaux divers de physique, de mécanique et de technique de 1650 à 1666. Traité des couronnes et des parhélies (1662 ou 1663) / publ. par la Société hollandaise des sciences

Auteur : Huygens, Christiaan (1629-1695). Auteur du texte

Éditeur : M. Nijhoff (La Haye)

Date d'édition : 1888-1950

Contributeur : Koninklijke Hollandsche maatschappij der wetenschappen. Éditeur scientifique

Sujet : Huygens, Christiaan (1629-1695) -- Contribution aux mathématiques

Sujet : Huygens, Christiaan (1629-1695)

Notice d'ensemble : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb38949978f

Type : monographie imprimée

Langue : latin

Langue : français

Langue : néerlandais

Format : 23 vol. : ill. ; 29 cm

Description : Correspondance

Description : Autobiographie

Droits : Consultable en ligne

Droits : Public domain

Identifiant : ark:/12148/bpt6k778667

Source : Bibliothèque nationale de France, département Philosophie, histoire, sciences de l'homme, 4-R-788 (17)

Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France

Date de mise en ligne : 15/10/2007

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par l'usage; or, la surface "plane" de la lentille était en réalité légèrement concave, ayant peut-être été obtenue avec la même forme primitivement bombée, de sorte qu'elle touchait la forme désormais plane mieux aux bords qu'au mitieu]. Durant le rodage it sec avec l'instrument [Fig. :t] te verre exerçait une pression encore plus grande vers les bords [te mot "encore" indique peut-être que t'inttrument de ia figure n'avait pas été employé dès l'abord]. D'abord je tins le bâton [Fig. t et a:] en équitibre à l'aide du plomb B, jusque ce que la matière [du sable probablement, puisque le polissage n'eut lieu que plus tard] devint déjjt très fine, ceci durant une couple d'heures. Ensuite [)e poids fut suspendu] une marque plus près, puis de plus en plus près de A; ensuite de l'autre côté, et enfin près du bâton. Ensuite augmenté le poids d'autant et un peu davantage. Enfin exercé avec la main une forte pression à l'aide du bâton. [Le verre] ne commença à luire que peu de temps avant que j'exerçai la pression à l'aide de la main. Les bords restèrent quelque peu rudes. Poli [gepoiijst] à la main et bien appuyé avec tes deux doigts de devant sur le milieu du "looper". [La tentiite] fut bonne après que ce côté plat seul avait été corrigé. je travaillai 9 heures. Après cela changé par rodage la forme d'un verre plus épais, mais it fut trouvé avoir des sillons, de sorte qu'il n'était pas bon. [Le fait que Huygens se sert d'un instrument tel que celui représenté dans tes Fig. :< et 22 prouve qu'il avait reçu d'autres instructions que celles de v. Gutschoven. En efret, )a méthode du bâton, pour l'appeler ainsi, est mentionnée dans le Journal de Beeckman (que Huygens, soit dit en passant, ne connaissait certainement pas) p. e. à la f.~6: v.: "Den 14den nov. !03~ hebbe Ick mijn becken vast gestelt, en eenen stock van ontrent voet lanck (~ant op sulken center is mijn becken gemaeckt) in het centrum van de sphera van mijn becken gehanghen so na ais ick konde. den stock was eenen haseiaer also datse buygen konde. Ais ick dan met mijn handen atieen het glas van 3 duijm so verde gebracht hadde dat het maer te polijsten en was stelde ickt onder dien stock en beproefde (want het centrum vant becken was een schroeve als voor dese gesecht is)sostijfa)sickgoetdochte,enhie!tmijn handt aenden dop hoevende er niet te douwen want de stock perste genoech (gelijck ick wet hebbe hooren zeggen dat de spiegeisiijpers doen doch en weet niet datse schroeven besighen, noch den stock in centro stellen, want de spiegels sijn p)ac)' c.a.d. "Le t~ novembre 163~ j'ai fixé ma forme et suspendu aussi précisément que possible en son centre de courbure un bâton d'une longueur d'environ pieds, car c'est là ie rayon de courbure de ma forme. Ce bâton était en bois de noisetier, par conséquent flexible. Après avoir de mesmains seulement travaiiié le verre de 3 pouces distance focale jusqu'au moment où ii ne fallait encore que le polir, je le mis sous ce bâton et tâchai d'obtenir une tension convenable: comme j'ai dit plus haut i! y a une vis au centre de courbure de la forme. Je dirigeai le ~dop" de ma main sans devoir exercer aucune pression, car le bâton pressait suffisamment. J'ai entendu dire que tes polisseurs de miroirs font de même, mais j'ignore s'it font usage de vis, ni s'ils attachent le bâton à un centre, vu que tes miroirs sont plans." Ailleurs Beeckman parle aussi de l'usage de poids pour obtenir une pres<don sumsante. La f. ~05 r. confirme et amplifie ce qui a été dit au sujet des polisseurs de miroirs. Quant aux ~streepen" ~sittons" ou "raies" (voir le deuxième atinéa de la p. 2~3 qui précède, ainsi que la remarque de Huygens au § 4 (p. ap~, note) sur "l'embarras des grains de sable" ils formaient un sujet constant de préoccupation pour Beeckman et sans doute pour tous les tailleurs de lentilles de ce temps; Journal f. 46~ r.: "alst becken hcet gladt iswaerder een sandeken schuilt dat en kan nergenswijckenmaerbtijfttusschenhetharde ijser en glas en moet so noouakellck schrabben" (lorsque la forme est bien lisse, un grain de sable s'y trouvant par hasard ne peut aucunement s'esquiver mais demeure entre le fer dur et