mais ceux-ci ne fe montrèrent pasenthou<)aites:iHesappe)te,,tardi(setdimci)esa a admettre quelque chofe de nouveau quoy que l'utilité en toit mani<c)te" 1). Cette hetitaiion bien naturelle des marins à faire ufage d'un inltrumenc t'hortoge !t pendu!e qui en effet, comme la fuite l'a montre, n'a jamais eu, malgré des fuccès partiels, !e fuccès complet fi ardemment (buhaitc, explique fort bien que !e nombre des voyages où l'on s'appliqua à tirer du nouvel inftrument tout le profit poflible rena fort rel1reinc ').
') T. V, p. t~7 et 978. Voir encore à ce sujet les p. 983,30~, 3op, 3! et 33: du même Tome. ') Joostvan Breen(comp<rezsur)ui la fin de)'AppendicequiMit,p.936)écritàt<p.!i6deMn
ouvrage Stiermans Gemack, etc." de <66: (voir ta note 5 de la p. 559 du T. XV) dans le Chap. IX intitulé Vande Observantie der langte, ofte het Oost en West": "Nu hoe wel sommigevcrmeten de ditFerentie des tijts msscheneent<geseij!deendeeenbekomeptaetstevinden door santlooper ofte ucrwerchen maer om de onbequaemheyd der selver insonderheyt by der zee sijn die al )angevoordes€niend'eens~dege![ett,onnodichdienuweeropn)euoptertpcn" (tradu~ion: "Quoique certaines gens se fassent forts de trouver à l'aide d'un sablier ou d'horloges la différence des temps entre t'endroit d'où un voilier est parti et celui où il est arrive, néanmoins à cause de leurs défauts surtout sur mer ces instruments ont été mis de côté i) y a longtemps; inutile de les produire de nouveau"). Voir aussi l'opinion de C. H. Gietermaecker citée dans la note i de la p. 20: qui suit.