chez monfteur t tampden. Tettemenc que mon foc de va)ec aura mol entendu ceux qui an SufTok~e-.Su'eec luy direnc a cequ'i)croyok,qu'i))o};eoi[chexceLord. Le )ny)ord {'~con'ois medirqu'i) viendroit me voir avec Faciu. Mais quanc:)vos livres, ce fera trop tard, ils fontdefjaou ils doivent eftre. PourSr. Chrittopher Wren ce pour Facto vous devriez bien encore envoyer des exemplaires. Voor Itcer van ZHEumM.
MONSIEUR
Je viens de recevoir t'oNi~eance )et;cre que Vous m'avez taie t'hnnneu)' de m'écrire. K))e a eu a<Texdepeineaniecrouver'). Je n'ai encore vu que Pcxemptairc de votre Trnitcé qui ëcoic pour Monsr.Hampden. J'irai demninchex Monueur de Zutichem où je [rouvcrai apparemment: tes autres, du moins ceux qui n'onc pas encore ccedonnex a ces Mes.r!: que Vous me marquez, e[ j'cn prendrai du <oin. En mon particulier Monneur jc Vou:; rens mes tres humhtcs grâces de ce que Vous avex bien voulu me meccrc de leur nombre. J'ai parcouru avec un (mgu)ier p!ai(ir voo'e Trai[[e de la Lumière, ce j'ai déjà )u ptuf~eurs fois celui de la pefanccur. On ne pcuc rien voir de p)us beau que te premier de ces Trai[re/; ce ce feroir dommage affeuremenc qu'i) ne fut pas verirahle. \'ous avez toujours cet avantage Monneur qu'on ne pourra prcrendre avoir quelque chofe de mci))eur jufques a ce qu'on ai: aun) bien exp)iquc tes apparences du crin'a) d'Iftande fur )efque))es j'admire j'ahondance e[ !'exacticudc des chofes que Vous propofex, mais c'eft ce qui fc fera mataifemenc. Dans ce~e première tecture qui n'a ece que fort fuperncicHe e): qui en dematide encore une féconde je n'ai rien [rouve qui m'arrêtât tinnn ce que Vous
') ChrJ!u~e)nN~xcreitatione<<[hem:uk':icctc.,[\)se.t)~io- ~) Voir les Lettres :.s~ ~5~5 et
N'2570.
t'rfo ))K i)t'tf.tKK a Cnm.sDAAN Hrvo.s.
6 MARS 1600.
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A Londres ce Février t6~o S. V.