Nevers '~) font 2 volumes in fb!io et que je ne les ay pas voulu acheter (ansfcavoir auparavantta volontè.
AMonfteur
Monneur DR MoGGERsmL &c.
A
!a Haye.
N2 1~1.
M. FOGELIUS ') à CHRISTIAAN HUYGENS.
6 OCTOBRE 1666.
La lettre se /roM'< <} Z~/t/M, fc/ //«yg~M.
NobilifHme & dodtifHme Vir.
Literas has quod ferius accipis, partim inde factum eft quod te Hagae Comitis adhuc commorari fperabam, partim morbi mei cu!pâ accidit, qui hactenus tantum levaminis mihi non conceOit, ut tibi potuiffem fcribere. Ceterumdine(t,quod tua merita in rempublicam literariam aettimem, & propterea valde defideravi tuam amicitiam. Superiore hieme fperaveram me ii!â Parittis fruiturum, fed frutlra. Nunc cum te Hagae requifierim, denuo cum fortuna conqueri neceHe habeo, quod eam mihi plane invidit. Sed faciliorem ad eam aditum mihi promitto, parario C!arimmo Slufio.
15) Louis de Gonzague, duc de Nevers, 3e fils du duc de Mantoue Frederico !!f, naquit lè t3septembre !53p et mourut le 22 octobre t~os à Nesle. I) entra en ts~oà à la cour de Henri le 4 mars t~ il épousa Henriette de Clèves, sœur des ducs de Nevers, dont le roi lui accorda le titre. H devint gouverneur du Piémont, et avait une grande innuence potitique, dont il usa surtout contre tes protestants.
') Martinus Vogel, ou Fogel, naquit le i~avrit 163~ à Hambourg, où il mourut le 2$ octobre idys. D'abord théologien, il se consacra bientôt à la médecine et en 1663 fut reçu docteur à Padoue. H s'établit à Hambourg comme médecin et, en !6/2, y fut nommé professeur de logique et de métaphysique au gymnase. H pubtia quelques ouvrages et laissa plusieurs manuscrits.