position alvéolée. En Avant, elle n'est point en communication immédiate avec le lobule olfactif. Willis parait avoir entrevu l'existence d'une substance autre que la substance grise sur les cotés de la base d~ cerveau des oiseaux.
Dans le cerveau du merlan, on voit de la partie inférieure et postérieure de son renflement le plus antérieur sortir le nerf olfactif. Mais on ne voit pas qu~aucun tractus superficiel de substance blanche l'unisse soit aux lobes optiques, soit aux nerfs de ce nom, soit aux tubercules mamillaires, soit même aux pédoncules cérébraux, dont quelques fibres, suivant l'observation de Tiedemann, communiquent cependant avec ces nerfs, en traversant le renflement encéphalique d'où ils naissent.