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Titre : Physiologie de la pensée : recherche critique des rapports du corps à l'esprit. Tome 1 / par M. Lélut

Auteur : Lélut, Louis-Francisque (1804-1877). Auteur du texte

Éditeur : Didier (Paris)

Date d'édition : 1862

Sujet : Cerveau

Notice d'ensemble : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb30783793q

Type : monographie imprimée

Langue : français

Format : 2 vol. (XXXII-399, 478 p.) ; in-18

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Description : Collection numérique : Originaux conservés à la Bibliothèque H. Ey (C. H. Sainte-Anne, Paris)

Description : Appartient à l’ensemble documentaire : CentSev001

Description : Contient une table des matières

Droits : Consultable en ligne

Droits : Public domain

Identifiant : ark:/12148/bpt6k768211

Source : Bibliothèque H. Ey. C.H. de Sainte-Anne, 720-2

Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France

Date de mise en ligne : 15/10/2007

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d'activité, deM<M~MCM~ nécessaire à Ja satisfaction de ces divers appétits primitifs, pour la partie de la vie de l'individu que constituent ses relations avec te dehors. Si Fon cherche ce qu'ont de commun ces quatre ou

cinq besoins ou appétits, ces divers éléments consti-

tutifs de la sensibilité inférieure, considérés;; en eSet, et comme Fa dit Descartes lui-même, en tant que sens internes, on voit d'abord qu'au poM de vue psychologique, et indépendamment de caractères particuliers à chacun d'eux ils se manifestent à Findividu en qui on les observe ou plutôt qui les observe'eh lui-même, sous la forme du plaisir ou de la douleur; du plaisir d'abord, de la'douleur ensuite. Je ne conçois pas en effet comment on a pu prétendre, c'est là notamment ce qu'a soutenu Reid que la forme générale et primitive des besoins et des appétits, du besoin de l'aliment; par exemple, que cette forme est la douleur. Pour avancer une telle opinion, il faut en vérité, n'avoir jamais eu faim ni soif. Le premier sentiment de la iaim et de la soif est agréable, et on a du plaisir non-seulement à le satisfaire, mais à réprouver ce ~premier sentiment ne se change graduellement en/douleur que quand la satisfaction en ést trop tardive; etiliàutën dire autant de l'appétit du sexe et du besoin de mouvement. L'appétit du sexe, quand donc est-il une douleur? quand

<. a Chaque appétit est accompagné d'une sensaHon désagréable qui lui est propre et qui est plus ou moins vive, suivant la~iva cité du désir que l'objet nous inspire. (QEMM'M cew~M~ trad. de JoutTroy, t. VI, p. 32.