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Titre : Essai sur le libre-arbitre (6e édition) / par Arthur Schopenhauer ; traduit en français pour la première fois et annoté par Salomon Reinach

Auteur : Schopenhauer, Arthur (1788-1860). Auteur du texte

Éditeur : F. Alcan (Paris)

Date d'édition : 1894

Contributeur : Reinach, Salomon (1858-1932). Traducteur. Notes éditoriales

Sujet : Libre arbitre

Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb37276066h

Type : monographie imprimée

Langue : français

Format : 1 vol. (212 p.)

Format : Nombre total de vues : 225

Description : Titre original : Über die Freiheit der menschlischen Willens

Description : Collection numérique : Originaux conservés à la Bibliothèque H. Ey (C. H. Sainte-Anne, Paris)

Description : Contient une table des matières

Droits : Consultable en ligne

Droits : Public domain

Identifiant : ark:/12148/bpt6k768002

Source : Bibliothèque H. Ey. C.H. de Sainte-Anne, 700-7

Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France

Date de mise en ligne : 15/10/2007

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mots « Je peux faire ce que je veux. » Mais remarquons que cette possibilité subjective est tout à fait hypothétique, et que le témoignage de la conscience se réduit & ceci < veux telle chose, je puis l'acco~p~r. » Or ce n'est pas là que se trouve la détermination nécessaire à la volonté puisque la conscience ne nous révèle absolument que la volition, mais non les motifs qui la déterminent, lesquels sont fournis par la perception extérieure, dirigée vers les objets du dehors. D'autre part, c'est la possibilité. objective qui détermine les choses mais cette possibilité réside en dehors du domaine de la conscience, dans le monde objectif, auquel le motif et l'homme lui-même appartiennent. Cette possibilité subjective dont nous parlions tout à l'heure est du même genre que la pM~sa~ce que possède le caillou de donner des étincelles~, possibilité qui se trouve cependant conditionnée par l'acier, où réside la possibilité objective de l'étincelle. Dans le chapitre suivant, j'arriverai à la même conclusion par une autre voie, en considérant la volonté non plus par le dedans, comme nous l'avons fait jusqu'ici, mais par le dehors, et en examinant a ce point de vue la possibilité objective de la volition alors la <. Dans la langue d'Aristote, les étincelles sont en puissance dans le caillou, et c'est l'acier qui les fait passer à l'uc~.