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Titre : Hypnotisme et suggestion : étude critique / par W. Wundt,... ; traduit de l'allemand par A. Keller

Auteur : Wundt, Wilhelm (1832-1920). Auteur du texte

Éditeur : F. Alcan (Paris)

Date d'édition : 1893

Contributeur : Keller, Alexandre (18..-19.. ; directeur du "Journal des lycées et collèges"). Traducteur

Sujet : Hypnose

Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb316708695

Type : monographie imprimée

Langue : français

Format : 1 vol. (167-16 p.) ; 18 cm

Format : Nombre total de vues : 191

Description : Titre original : Hypnotismus und Suggestion

Description : Collection : Bibliothèque de philosophie contemporaine

Description : Collection numérique : Originaux conservés à la Bibliothèque H. Ey (C. H. Sainte-Anne, Paris)

Description : Appartient à l’ensemble documentaire : CentSev001

Description : Contient une table des matières

Droits : Consultable en ligne

Droits : Public domain

Identifiant : ark:/12148/bpt6k764150

Source : Bibliothèque H. Ey. C.H. de Sainte-Anne, 503-212

Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France

Date de mise en ligne : 15/10/2007

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parce que je m'entretins avec la garde et d'antres malades, tout comme j'en avais l'habitude lorsque j'étais eveitle. Je me rendis bien compte cependant, par le ressouvenir, que je n'avais pas eu une conscience nette des choses, bien que j'eusse dit tout ce qui convînt à la situation. Mes prescriptions n étaient précisément t que la répétition des remarques que comportent t de semblables circonstances. Comme il s'agissait d'administrer un calmant a la malade, mes yeux tombèrent par hasard sur un flacon de teinture d'iode, placé dans un placard entrouvert. Le nacon se trouvait là parce qu'on s'en était servi pour badigeonner une personne atteinte d'une maladie de la peau. A l'instant il me vint à l'esprit que, dans la circonstance, la teinture d iode était le calmant exige. Jordonnai en conséquence à la garde de me passer le flacon et une cuiller a cale. Je fis redresser la malade, remplis la cuiller et essayai de lui en faire avaler le contenu. Par bonheur, celle-ci cracha immédiatement les quelques gouttes qu'elle avait reçues dans la bouche et repoussa le reste de la cuHleree, ce qui m'etonna fort. Je me souviens nettement qu'en ce moment je savais que c'était de la teinture d'iode, et qu'en même temps j'étais fer-