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Titre : Le mystère chrétien et les mystères antiques / Rudolf Steiner ; traduit de l'allemand et précédé d'une introduction par Édouard Schuré

Auteur : Steiner, Rudolf (1861-1925). Auteur du texte

Éditeur : Perrin (Paris)

Date d'édition : 1908

Contributeur : Schuré, Édouard (1841-1929). Traducteur. Préfacier

Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb31402950q

Type : monographie imprimée

Langue : français

Format : 1 vol. (260 p.) ; in-16

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Description : Contient une table des matières

Droits : Consultable en ligne

Droits : Public domain

Identifiant : ark:/12148/bpt6k75860p

Source : Bibliothèque nationale de France, département Philosophie, histoire, sciences de l'homme, 8-R-22224

Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France

Date de mise en ligne : 15/10/2007

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religion chrétienne reçut une empreinte particulière des sectes et des écrivains gnostiques Il faut ranger dans la catégorie des Gnostiques tous les écrivains des premiers siècles qui cherchaient dans la doctrine chrétienne le sens profond et et spirituef On comprend ces gnostiques quand on les considère comme saturés de l'ancienne sagesse des Mystères et préoccupés de comprendre le christianisme à leur point de vue. Le Christ est pour eux le Logos. Comme tel il est de nature spirituelle. Par sa nature primordiale, il ne peut pas entrer dans l'homme du dehors. Il faut qu'il soit evcitté dans t'~me Mais il faut que le Jésus de l'histoire soit en rapport avec ce Logos.Telle était la question capitale chez les Gnostiques. Un tel pouvait la résoudre d'une manière, un tel d'une autre. La doctrine essentielle et commune à tous les Gnostiques était que, pour arriver à la véritable intelligence de l'idée du Christ, la tradition historique était insuffisante, qu'il fallait en chercher le fond dans la sagesse des Mystères ~u dans la philosophie néo-platonicienne puisée à la même source. Les Gnostiques avaient confiance dans la sagesse humaine et la croyaient capable d'enfanter dans 1. On trouve un brillant tableau du dévetoppemeni de la Gnôse dans le livre cité plus haut de M. MEAD, Fragments d'une foi perdue.