Rappel de votre demande:


Format de téléchargement: : Texte

Vues 176 à 176 sur 267

Nombre de pages: 1

Notice complète:

Titre : Le mystère chrétien et les mystères antiques / Rudolf Steiner ; traduit de l'allemand et précédé d'une introduction par Édouard Schuré

Auteur : Steiner, Rudolf (1861-1925). Auteur du texte

Éditeur : Perrin (Paris)

Date d'édition : 1908

Contributeur : Schuré, Édouard (1841-1929). Traducteur. Préfacier

Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb31402950q

Type : monographie imprimée

Langue : français

Format : 1 vol. (260 p.) ; in-16

Format : Nombre total de vues : 267

Description : Contient une table des matières

Droits : Consultable en ligne

Droits : Public domain

Identifiant : ark:/12148/bpt6k75860p

Source : Bibliothèque nationale de France, département Philosophie, histoire, sciences de l'homme, 8-R-22224

Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France

Date de mise en ligne : 15/10/2007

Le texte affiché peut comporter un certain nombre d'erreurs. En effet, le mode texte de ce document a été généré de façon automatique par un programme de reconnaissance optique de caractères (OCR). Le taux de reconnaissance estimé pour ce document est de 96%.


comme réconciliée avec la justice étemelle,(Tin visibles puissances s'approchent d'elle et lui disent: « L'Osiris N. a été purifié dans l'étang qui est au sud du champ de Hotep et au nord du champ des sauterelles, là où les Dieux de la verdure se lavent à la quatrième heure de la nuit et se purifient à la huitième heure du jour avec l'image du cœur des Dieux, en passant de la nuit au jour. » Ainsi, dans l'ordre cosmogonique, on s'adressE à la partie éternelle de l'homme comme s'il était lui-même un Osiris. Après le nom d'Osiris se trouve le nom du défunt. Et celui qui rentre dans l'ordre éternel de l'univers se désigne lui-même comme « Osiris ». – « Je suis l'Osiris N. Croissant sous les fleurs du figuier,se trouve l'Osiris N. » L'homme devient donc un Osiris. L'EtrcOsiris n'est que le degré le plus parfait de l'être humain. Il s'entend de soi que l'Osiris, qui règne en juge sur l'ordre éternel de l'univers, n'est lui-même pas autre chose qu'un homme parfait. Entre l'état humain et l'état divin, il n'y a qu'une différence de degré. L'homme est en voie de développement à la fin de sa carrière il devient dieu. Dans cette conception, Dieu est un éternel devenir et non pas un Dieu fini en soi. Tel étant l'ordre universel, il est évident que celui-là seul peut entrer dans la vie d'Osiris, qui est déjà devenu un Osiris lui-même avant de