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Titre : L'Écho d'Alger : journal républicain du matin

Éditeur : [s.n.] (Alger)

Date d'édition : 1919-03-22

Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb327596899

Notice du catalogue : https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/cb327596899/date

Type : texte

Type : publication en série imprimée

Langue : français

Format : Nombre total de vues : 67558

Description : 22 mars 1919

Description : 1919/03/22 (A8,N2554).

Description : Note : GG14181.

Description : Collection numérique : Documents consacrés à la Première Guerre mondiale

Description : Collection numérique : Bibliothèque Francophone Numérique

Description : Collection numérique : Zone géographique : Afrique du Nord et Moyen-Orient

Description : Collection numérique : Thème : Les droits de l'homme

Droits : Consultable en ligne

Droits : Public domain

Identifiant : ark:/12148/bpt6k75799095

Source : Bibliothèque nationale de France, département Droit, économie, politique, JOD-10396

Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France

Date de mise en ligne : 12/08/2013

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]Ure aujourd'hui «-

Questions Sociales

Par C. 8. :,.' .:.

L'Affaire Cachot

UNE TENTATIVE D'EVASION

, DEJOUÉE

- ..Dern.ain

[AGA VOUS POILU

.- Dar MUSETTE

la Situation Diplomatique

Paris. 21 mars. - De notre correspondant spécial: -"'

Tom&ertons-nous de Charybde en ScylP Nous menons à peine d'en finir avec te différend si fâcheusement surgi au sem yneme de la Conférence - différend qui, grâce à la clairvoyance et au doigté de 1VI. Clemenceau fut apaisé dllns le$ 24 heures - que nous voyons monter des nuiges noirs à l'horizoiz du côté de l'Allema- gne. y "",,,:,,

Nos ennemis, évidemment, n'ont pas eté les derniers à sat'oir ce qui se passant à Paris. Ils en ont même été sûrement tenus au courant, heure par heure, et avec l'esprit d'exagération qui leur es.

propre, ils ont aussitôt cru à la dissolution du bloc allié. Ils ont été convaincus qu'il avaient, sinon perdu la guerre, du motns gagné la paix.

Telle est la conséquence directe des in'J'raisemblables lenteurs de la Conférence de la Paix, de ses hésitations, de ses tergiversations. En décembre dernier, elle pouvait ce qu'elle voulait. Plus le temps s'écoule, plus elle perd en autorité monemis de relellèr la tête:

Le pliln allemand apparaît très clair. Ce que je vous disais, il y a quelque témp déjà, de l'éventualité d'une ruptured'ar mistice devient aujourd'hui une possibilité.

Le prétexte est tout trouvé. C'est l'affaire 'Po!onpise. où lé gouvernement allemand peut prétendre qu'il est débordé par Je parti militaire. ",40. ;.,

Il y a un mofs encore, il eût été jaci!e 'de venir en aide à la Pologne, Aujourd'hui.

le commandement allemand a concentré une telle armée aux frontières de Posnanie

- ;:7ue.snd;éclQlchede ce côté une attaque.

la udéa toutes ,Ies 1Qrcs réunies du marec/K~~oc/ï pour en parer le contre-COU-J, Là-dessus viennent se greffer d'autres incidents 7 celui des marins" de Hambourg qui ne veule(ltpas livrer la flotte de commerce, alléguant que le ravitaillement de l'Allemagne n'est pas suffisaipinent garaniti par l'Entente ; celtti aussi de la commission de Spa, dont le président demande sous quelle forme les conditions de paix seront notifiées à l'Allemagne. Tout cela révèle un fâcheux état d'esprit, fait d'arrogance et de combativité agressi1;e. Les Allemands sont convaincus que les alliés ménacent en vain, qu'ils sont incapables de passer aux actes et de recommencer les hostilités. C'est là-dessus qu'ils comptent et qu'ils tablent pour prendre une attitude à laquelle ils n'auraient pas osé, songes il y a deux mois. Les voici maintenant appuyés sur une armée de quelques centaines de mille hommes, sur la fidélité de laquelle ils croient pouvoir compter et ils ne parlent plus en vaincus, ils tentent de traiter de pair à égal.

T eUe est la suite fatale et logique des tautes, des erreurs commises depuis la reunton de la Conférence de la Paix. Peuton espérer que celle-ci se ressaisira et, qu'achlwant rapidement son oetivre, elle saura enfin tirer profit de la victoire, au lieu d'en gaspiller follement les bénéfices ?

GUY DE SAINT-CLAIR.

L'Administration '-

t JderA!sace-Lorrainc

M. Jonnart reste

gouverneur général de FAïgérie

Paris. 2 t mars. '- M. Jonnart, pressenti par M. Clemenceau pour l'administration de l'lsac-Lorta.ine, a fait valoir de sérieuses raisons en faveur de son maintien à la tête du Gouvernement général de l'Algérie. M.

Clemenceau aurait l'intention de. demander à M. Millerand d'accepter la haute mission déclinée par M. Jonnart.

M. Millerand. interrogé dans la soirée, a répondu Qu'il n'avait rien à déclarer à ce sujet.

POURQUOI M. JONNART A DECLINÈ LA MISSION QUI LUI ETAIT OFFERTE Paris. 21 mars. —- Le bruit avait couru que M. Jonnart. en refusant le poste qui lui était offert. avait non seulement obéi au désir de poursuivre en Algérie une tâche déjà corn.

mencée. mais aussi à ce fait qu'on aurait refusé de lui accorder, en Alsace-Lorraine, les pleins pouvoirs qu'aurait réclamés déjà M. Jeanneney.

Dans l'entourage de M. Jeanneney. on Qualifie ces bruits d'absurdes et M. Jonnart les a réfutés également.

M. Jonnart a déclaré, au contraire, qu'il trouvait très bien le plan de réorganisation de l'Alsace-Lorraine. au point de vue administratif, plan élaboré par M. Jeanneney et Qu'il avait été convenu que le haut-commissaire aurait accès au Conseil des ministres chaque fois que des questions du ressort de l'Alsace ou de la Lorraine viendraient en discussion.

L'Echo de Paris croit oue M. Jonnart a décliné l'offre de M. Clemenceau non seulement en raison de l'œuvre qu'il poursuit en Algérie, mais aussi parce qu'il veut s occuper activement de ses mandants du Pas-de-Ca- lais. qui ont été si éprouvés par la guerre.

Le Petit Parisien dit nue la proposition fut portée à M. Millel\lnd mercredi soir, et qu'à la suite d'un entretien qui eut lieu hier, vec MM. Jeanneney et Mandel. l'accord fut omplètement établi sur la tâche à remplir -t sur les pouvoirs reconnus indispensables D'autre part, nous recevons de Paris le

'élé${,ramme suivant :

Il Le gouverneur général, malgré des solli'itations très vives, si honorables qu'elles fus- "ent, n'a pas cru pouvoir accepter le nou eau poste, considérant en effet qu'il se deait à l'Algérie pour résoudre les difficultés conomiques et financières de l'heure présente. JI ','

M. MILLERAND EST NOMM

HAUT-COMMISSAIRE de la REPUBLIQUE

EN ALSACE-LORRAINE

Paris, 21 mars. - Au cours d'un Conseil les ministres, à l'Elysée, M. Poincaré a si,"né le décret confiant à M. Millerand. à titre temporaire, les fonctions de commissaire général de la République en Alsace-Lorraine.

vec résidence à Strasbourg.

LE ROLE DU COMMISSAIRE CENERAL

Paris, 21 mars. - Le décret déterminant les attributions du commissaire général l'Alsace-Lorraine dit notamment que le commissaire g-énéral exerce l'administration générale des territoires d'Alsace et de Lorraine, sous l'autorité directe et par délégation permanente du Président du Conseil, et qu'il a son entrée au Conseil des ministres pour les affaires qui concernent es .tei'citoir.,

M. MILLERAND A8S!3TE AU CONSEIL

DES MtNtSTRES

Paris..21 mars. - M. Millerand a assisté à la séance du Conseil des ministres et il a exposé les conditions dans lesquelles il entend remplir le mandat qu'i vient de lui être confié. II partira incessamment pour Strasbourg.

COMMENT S'EST DECIDÉ LE CHOIX

DE M. MILLERAND

Paris, 21 mars, :..- C'est hier que M. Clemenceau a offert à M. Millerand les fonctions de Commissaire général de la République à Strasbourg. Après un court échange de vues sur la nature et l'étendue de ses attributions. M. MiUerand. avec son esprit attributions « habituel, a répondu:

« Dans les circonstances actuelles, je ne crois pas avoir le droit de discuter. Vous faites appel à mon concours; il vous est acquis sans réserve. Il

M. Millerand, interviewé par l'Agence Havas, après avoir assisté au Conseil des ministres de la matiirée. a déclaré:

« Il serait prématuré de tracer un PrO.

gramme. Je me rends pleinenlellt compte de l'importance de l'œU\'TC de réalisation à laquelle je vais me consacrer de toutes mes forces. Je serait tout entier à l'Alsace et 'f' la Lorraine. Dites à nos frères d'Alsace et de Lorraine que je me dévouerai à eux, corps et âme. »

M. Millerand arrivera lundi à Strasbourg, où il passera quelques jours, pour prendre possession de son poste et entrer en contact avec les chefs de service et les représentants les plus autorisés d'Alsace et de Lorraine. Il reviendra ensuite faire un très court séjour à Paris ; puis il s'installera définitivement à Strasbourg.

La Volonté de vaincre

FOCH A VOULU LA VICTOIRE

Paris. 21 mars. - Un de nos confrères a interviewé le maréchal Foch, à propos de l'anniversaire de l'offensive allemande contre les Anglais.

Lui ayant demandé comment il avait su électriser ses armées ébranlées et les regrouper. le maréchal Foch a répondu :

c On a gagné la victoire par la science, malS aussi par la foi. Quand on a la foi, on Jle recule pas, on arrête l'ennemi.

c Ce sont nos soldats admirables qui ont 'donné la victoire à la France. Mon seul mécite est de n'avoir jamais désespéré.

"c:, Quand on m'a - interroS{é sur la situation. j'ai dit : « La France ne meurt pas.

On arrêtera le Boche et on l'arrêtera immé diatement. Il suffit de dire qu'il ne passera pas et je vous garantis qu'il ne passera pas.

Le Boche serà arrêté là. où il est. JI

Le maréchal Foch avait déjà montré cette foi, e I-c)14, sur l'Yser.

Comme le maréchal French ordonnait la retraite. Foch lui dit : « Si la vieille infanterie de Wellington ne peut plus tenir aujourd'hui les dernières tranchées. il faudra

bien que mes gosses y aillent. »

Le maréchal Foch déclare encore qu'il n'a pas hésité à signer l'armistice. malgré rof- pensive imminente, parce que l'armistice lui donnait tout le nécessaire pour la victoire et que la France ne pouvait nas faire tuer un homme de plus.

c La science stratégique peut s'acquérir, a ttjouté Foch, mais ce nimt-pas un corps de formules : c'est le fruit d'une exnéricnce que -le chef doit s'incorporer. de façon qu'elle guide toutes ses décisions: c'eat aussi le fait d'une discipline de l'esprit, acquise par l'ude de l'Histoire.

« Mais lès plus belles qualités d'intelli- ence ne sont rien sans la volonté de la vicitoirc. *

Le maréchal conclut sur la ouestion posée à propos de la frontière du Rhîn:

c Oui. le Rhin est notre seule bonne ligne

'de défense.

c Je n'en demande pas l'annexion, mais si inous n'avions pas cette frontière militaire, IlOUS nous serions battus eu vain; Il -

i Le général Alleby à Paris

LE CENERAL ALLENBY EXALTE LES PROUESSES DES TROUPES

FRANÇAISES EN PALESTINE

Paris, 21 mars. - Le Matin a intervie- wé le général Allenby qui a déclaré notamment:

a J'ai eu sous mes ordres deux bataillons de tirailleurs algériens, deux bataillons de la Légion d'Orient. trois escadrons de spahis deux batteries d'artillerie; tous ces éléments ont été dignes des Dlus grands éloges et n'ont pas Deu contribué. par leur entraine et leur vaillance proverbiales, au succès ,1c la campagne.

If Je pourrais vous citer mille exemple.

Lorsque j'ai fait mon attaque, le ta septem bre lQI7, ce sont les éléments français qUI s'emparant avec un irrésistible élan d'iln colline qui dominait notre aile droite à Me djel Yaba, m'ont permis de me servir de cr.

point comme un pivot et de mettre soudain l'ennemi en déroute. 1

« C'est la cavaierie française encore qui a contribué avec la nôtre, en couvrant héroïquement l'aile gauche. à notre brillant succès près de la ville de Napleuse. Vos cavaliers ont aloPa fait des merveilles ; aprs avoir soutenu de rudes assauts. ils ont rattrapé l'avance de nos escadrons et ont poursuivi avec nous les Turcs au-delà de Da.

mas.

« Plus tard. votre infanterie a pris nobb.

ment sa part des rudes batailles autour de Beyrouth. JI

C'est d'une voix émue que le général évoque des fragments de cette épopée.

Paris 21 mars. --- Un correspondant du Petit Parisien a également eu une conver.

sation avec le général Allenby, lequel a dé.

claré :

« Je viens à Paris uniquement pour -ré.

pondre aux questions des délégués de la Conférence et pour les éclairer sur divers points d'ordre militaire.

c- Le repars demain soir pour l'Egypt, vià Marseille.

« J'ai vu aujourd'hui MM. Clemenceau.

Lloyd George et le président Wilson, Diaz,

Foch. »'

A ce dernier nom, le général s'anime. sa phy~onon~e 5'éclaiœil

« Je connais le maréchal depuis 5 ans, dit-il en se levant, c'est un grand soldat. »

Plusieurs fois. le général Allenby répète: c C'est un grand soldat, un grand chef A la demande. :

Le maintien de la domination turque sur la partie des populations que vous avez 1i bérées peut-il être envisagé ?

- a Pas du tout, répond le général, cela est bien fini. »

Notre confrère demande qu'elle est la situation actuelle de ces régions ?

- Pour le moment, répond le général, elles sont sous le régime de l'administration militaire française, anglaise, italienne et ara be. Il en sera ainsi jusqu'à ce que la conférence de la paix décide du statut définitif,

c Les Turcs ont entièrement démobilisé la police sans aucune difficulté.

« On s'occupe surtout d'organiser le ravitaillement. la chose n'est pas facile. On s'y emploie de son mieux par camions, autos et chameaux. »

Un sourire fin erre sur les lèvres du général, quand son interlocuteur lui demande sa pensée sur le sionisme mais il refuse de répondre à la question.

LA LEÇON Des EVENEMENTS

D'EGYPTE

Paris, 21 mars. - Pernitax, dans l'Echo de Paris, salue en le général Allenby un des vainqueurs de la guerre.

Il ajoute que le général AUcnby a lété appelé par M. Lloyd George et ses collègues pour faire un rapport sur les incidents qui se sont produits en Egvpte, au cours du dernier mois, mais que les entretiens principaux ont porté sur la répartition des forces alliées en Turquie d'Asie.

A ce sujet, un projet a déjà été élaboré par les bureaux de Versailles.

Il a été question, aussi, du régime définitif des territoires enlevés aux Turcs.

Pernitax rappelle le difficile procès qui divise Londres à ce suiet. Il conclut au maintien intégral de. l'Entente Cordiale, prouvée nécessaire nar tant de falt.s.. savoir : les événements clleynte, qui montrent à nos amis les conséquences que le panara bisme trop violemment surexcité Deut avoir pour leur domination: le compromis auquel conduisent forcément les T 4 artiles quand 0n les rapproche de la réalité.

Ls points de vues de la France et de l'Angleterre tendent à se confondre, et l'action du général Allenby aide à cetheuretix hang-ement; souhaitons qu'un accord dissi De bientôt tous les doutes.

AU CONSEIL D'Ê"rAT

REJET DE REAUÉTE

Paris.. 21 mars. - Le Conseil d'Etat, sta tuant au Contentieux, a rejeté la requête de M. Bonamen. ancien sous-directeur au Gouvernement général de P Ahrérie, actuellement.

"onsei11f-f-TaUporteur adjoint au Conseil (lu 'nème Gouvernement, contre la décision du ministre des Fin~nces~ en date du 12 décembre 1016, flécirlant Qu'il devait verser une retenue d'un douzième de son nouveau traitement.

Les Affaires à l'Instruction - 1;

It-JTERROCATOIRE DE LDUSTALOT Paris. 21 mars. - L'interrogatoire de Loustalot a porté sur la volumineuse corres- nondance échangée entre le député italien Cavallini et M. Lévv Arturo, dans laquelle le nom de l'inculpé revient fréquemment. Il 4 prétendu que cette correspondance. ainsi qu'il l'avait déjà. déclaré nu lieutenant Jous~ selin, se rapportàit à la création d'une bau-1 lue et d'un journal. ,

La Mort d'Almereyda

DEPOSITION DU FACTEUR SERVANT Paris, 21 mars - L'ex-facteur des Postes Servant, condamné à dix ans de réclusion. qui avait écrit une lettre à Me Paul More!, avocat-conseil de Mme Clairo-Almerevda. a déposé devant le lug-e d'instruction Gilbert, auquel il a répété les termes de sa lettre. Il a confirmé que le 13 août, se trouvant dans une cellule voisine, il a entendu les gémissements d'Almerevda et

une voix qui lui criait : « Espèce de sauvage. te tairas-tu ? Demain tu ne gueuleras olu s ! s

Ramené ensuite à Châteauroux, au camp des travailleurs spéciaux. il a entendu les sentinelles, parler plusieurs reprises de l'affaire Almereyda. Il s'est résolu alors à écrire à l'avocat Paul Morel ce qu'il avait entendu du drame. -

Comme le jusrc fait l-clharqnèr à Servant qu'il n'a été témoin daucun des faits qu'il rapporte et lui demande pourquoi il a prétendu qu'Almereyda avait été étranglé. Servant lui rénond :

a Cette opinion est le résultat de mes observations rapprochées de ce que j'ai entendu. B

LE PROCÈS CA V ALLINI

k UN TEMOIN ET UN ACCUSt:

QUI NE SONT PAS D'ACCORD

Rome. 21 mars. - L'audition de M. Vi gliani continue. Le témoin dit qu'il a confié à Buonanno la mission de suivre l'action des journalistes en Suisse et qu'il lui donnait pour cela 500 lires par mois.

Mais. après quatre mois. il lui a retiré son mandat, parce qu'il avait reçu des communications peu rassurantes sur la fidélité de Buonanno.

M. Vigliani confirme avoir remercié Cavallini pour les renseignements donnés sur l'offensive contre la Roumanie.

Buonanno réplique. Il affirme que son mandat ne lui a jamais été retiré et que s'il n'a nlus reçu la mensualité de r;oo lires, cela est dû au fait qu'étant nntré en Italie, il a' demandé à ne plus retourner en Suisse.

Buonanno demande à pouvoir, s'expliquer à huis clos sur sa mission en Suisse. car Il doit exposer des faits intéressant la Défense nationale.

L'audience continue à huis clos.

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L'Espagne au Maroc

occu PATION DE TERRITOIRE

Rabat, 21 mars (officiel). - Une. mehala chérifiienne. sous les ordres du lieutenantcolonel Castro a occupé Kudia et Abila et un autre poste à l'embouchure de la rivière voisine du cap Mazari.

Une autre colonne, sous les ordres du crénéral Arraiz, s'est établie à Kudia et à Marax.

LES RELATIONS POSTALES

La service des contre-torpilleurs cesse en Méditerranée Occidentale,

Toulon. 21 mars. -- Les torpilleurs d'es- cadre « Epieu P, venant de Bilcrte, c Epée » et « Pique », venant d'Oran, sont arrivés à Toulon. Les relations postales entre la à Tou l onl. 'Algériei la Cors è et la 1\-Iétropolc,

Tunisie. l'Algérie, la Cors; et la Métropole, qui avaient été organisées après l'armistice avec le concours de ces torpilleurs, ont cessé à partir d'aujourd'hui, les messageries postales devant être assurées dorénavant par les paquebots. <

NOS CO~JI~I~I~RS

Marseille, ,21 mars. - Sont arrivés les vapeurs : c Ville-de-Tunis J, venant d'Al-, gr ; « Oudjda IJ. ycnant d'Oran.

Pas de dépIt" <. .:

Le Congrès de la Paix

UNE COMMISSION D'ENQUETE POUR

LES PROBLÈMES DE L'ASIE

OTTOMANE

Paris, 21 mars. - A la suite d'une délibération qui a eu lieu hier chez M. Lloyd

Gcorllc, en présence du général Allenby il a été décidé de nommer une Commission interalliée qui sera chargée d'étudier sur place les problèmes de Syrie, de Palestine et de Pcnscmble de l'Asie ottomane. L'attribution des mandats aux diverses puissances européennes. concernant les régions de l'Asie ottomane. n'aurait pas lieu avant le retour de cette Commission d'enquête, c'est-à-dire avant plusieurs mois.

QUAND SERONT ARRÊTES

LES PRELIMINAIRES

Paris, 21 mars. - Selon le colonel House.

les préliminaires de la paix seront arrêtés le -:o mars. La Ligue des Nations sera constituée à la même date.

Le Conseil Supérieur de la Guerre

LA RUPTURE DE POSEN

Paris, 21 mars. -1. Le Conseil suprême de la guerre s'occupera, aujourd'hui, de la rup turc de Posen et envisagera les mesures de pression à exercer sur l'Allemagne pour amener la cessation des hostilités sur le front de la Posnanie. - 41 „———————— - —— —— —————————-

Les nes:C!at!M3 avec IJAIemagn8

UNE QUESTION PREMATURÉE

Bâle, 21 mars. - On mand de Berlin: Le président de la Commission allemande à Spa. a présenté une note demandant si l'on doit considérer comme exactes les nouvelles parues dans la uresse anglaise et dans la presse, française, selon lesquelles le projet de traité de paix serait présenté aux

Allemands aussitôt que le président, Wilson y aura donné son approbation, mais qu'op.

ne permettra aux Allemands ni de le discuter, ni d'y apporter aucune modification.

La Situation en Allemagne

LA LOI MARTIALE EST MAINTENUE

Londres, 21 mars. - On mande de Berlin: L'Assemblée nationale prussienne a rejeté, le io mars à une forte majorité, une motion des socialistes indépendants concernant l'abolition de la loi martiale à Berlin.

DETERMINATION DU GOUVERNEMENT

PRUSSIEN

Berne, 21 mars. - Les débats à la Diète de Prusse ont été, le 17 mars, particulièrement animés. On a continué la discussion de la question des responsabilités dans les derniers troubles de Berlin. Après le discours prononcé le 14 mars Dar M. Hoffmann et celui de M. Heine. il fallait s'attendre à de nouveaux éclats. Ceux-ci n'ont pas manqué. M. Hirsch, président du Conseil, a affirmé que le gouvernement saurait, s'il le fallait, opposer. la force à la violence des spartaciens.

ASSEMBLÉE CENERALE DU PARTI

DEMOCRATIQUE ALLEMAND

Bâle. 21 mars. - On mande de Berlin: Le Comité du parti démocratique allemand a "tléciùé de convoquer, en mai. une as~cmiJICê g ';¡1t'ralc J~ p~n:l dcE.iocr.. tique alle mand à Casse!.

LA* CRISE MINISTERIELLE

EN PRUSSE

Berlin, 21 mars. - La Constituante prussienne a voté un projet concernant l'organisation des pouvoirs publics en Prusse. Conséquemment, le ministère se retire.

Il continuera à gérer les affaires jusqu'à la formation du nouveau cabinet.

LA LIGUE DES NATIONS

LES DELEGUÉS DES ETATS NEUTRES

A LA REUNION DU COMITt:

Paris, 21 mars. - Au cours de la réunion du Comité de la Commission de la Société des Nations, hier après-midi. les délégués neutres ont émis le vœu que les conflits internationaux soient appelés devant une institution de conciliation spéciale, avant d'être soumis au Conseil exécutif comme le prévoit l'article. 12.

lU ais lord Cecil et M. Léon Bourgeois ont répliqué que la partie essentielle du problème a été longuement étudiée car la Corn mission, et que c'ést en connaissance de cause qu'elle s'est arrêtée, à la solution de l'article 12.

Le Comité de la Commission a réservé le meilleur accueil aux suggestions faites par les délégués neutres oui. d'ailleurs, se sont montrés très satisfaits de l'entrevue.

L'examen »'a porté aujourd'hui que sur les JI; premiers articles du projet, qui en comDorte 26.

Il sera terminé demain après-midi.

Samedi matin. la Commission se réunira pour discuter les modifications proposées uar les Etats neutres.

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La flotte alle1TI.ande

LES REMISES S'EFFECTUENT

Londres, 21 mars. - On mande de Berlin :

Un premier convoi de douze vapeurs destinés au transport des vivres quittera Bremcrhaven lundi.

Douze nouveaux sous-marins ont quitté Hambourg hier pour être livrés à l'Entente.

LIVRAISON DE DIX SOUS-MARINS Bâle. 21 mars. - On mande de Hambourg :

Hier, un nouveau convoi de dix sous-marins est sorti du port pôur être livré à l'Entente.

.000

LES BASES NAVALES

UNE MISSION FRANCAISE EST CHARCÉE DE LEUR INSPECTION EN MER NOIRE ET EM MEDtTERRAMÉE.

Tarente, 21 mars. - Une mission composée de M. de Kerguezec, député, rapporteur du budget de la marine, et de ,M:

Charles Meunier, depute. s'est embarouéc a Tarente. sur le croiseur « D'Iberville » pour aller inspecter les bases navales en Méditerranée orientale et dans la mer Noire.

L'ANARCHIE RUSSE

ODESSA EST-IL EVACUÉ ?

Londres, li mars. — Suivant une information de l'Agence Reuter, aucune nouvelle offi.

cielle de l'évacuation d'Odessa n'a encore et' reçue à Londres. L'abandon de Kherson et de Nicolaieff n'a eu lieu qu'après une résistance acharnée. Les garnisons allemandes laissées dans ces localités n'ont aparemment ottert aucune opposition. On dit même qu'el- les ont livré leur armement aux boichevisies avec lesquels elles ont fraternisé.

ECHEC BOLCHEVISTE EN BALTIQUE Bâle, 2 ( mars. - Les troupes bolchevistes continuent à battre en retraite dans les pays baltes. La garde nationale balte a occupe Mitau.

Devant le front allemand. l'adversaire commence à évacuer ses positicons.

LA SESSION PARLEMENTAIRE "1

A la dYeLrLY'bre

LE RECIME DOUANIER.

DES PRODUITS MAROCAINS

EN ALCERIE

La conférence des présidents des grandes commissions et des groupes a décidé d'inscrire à l'ordre du jour des séances du matin. le projet de loi relatif au régime douanier des produits marocains importés en Algérie.

A LA COMMISSION DU BUDGET

La Commission du budget de la Chambre a entendu aujourd'hui M. Bouisson sur l'utilisation des crédits demandés par le Gouvernement pour la construction d'une flotte marchande.

COMMISSION D'ENQUETE

SUR LA METALLURCIE

La Commission d'enquête sur la métallurgie a entendu M. Weiss, ancien directeur des Mines, et le général Malleterre, sur la question du bassin de Briey.

La séance du matin.

La Chambre a votéfJ matin les derniers articles et l'ensemble projet relatif au déclassement des fortifica f ons de Paris.

La séance de l'aprés-midi

Paris, 21 mars. - La séance est ouverte à 3 h. zer, sous la présidence de M. Deschanel.

M. Lafferre. ministre de l'Instruction Pu blique, dépose le projet de loi relatif à l'augmentation du traitement des membres de l'enseignement.

La Chambre adopte sans débot une proposition de résolution tendant à accorder une pension de retraite aux courriers auxiliaires, aux gardiens d'entrepôts et aux chargeurs auxiliaires des Postes et Télégraphes. Elle reprend ensuite le projet de loi sur la réforme électorale.

LA REFORME ELECTORALE

L'abbé Lemire se déclare un arrondissementier que rien n'a jamais pu convertir.

11 s'étonne qu'on puisse dire que les Chambres issues du scrutin * d'arrondissement n'ont pas été capables de grande's réformes.

car il a pu noter, lui-même : l'impôt sur le revenu, la législation du travail et toutes les mesures de progrès pour le monde syndical. Le député d'Hazebrouck fait le procès du scrutin de liste, avec lequel un député sera libre dans les petites choses et lié dans les grandes et où la domination du journalisme financier s'étendra sur des régions entières.

M. Renaudel, partisan de la réforme, et M. Louis Adrieux, adversaire de la proportionnelle, interviennent après l'abbé Lemire.

M. Andrieux parle dans le brouhaha, cai la Chambre est impatiente d'entendre M.

Aristide Briand, dont l'intervention est annoncée. Il est 6 h. 40 quand l'ancien président du Conseil monte à la tribune et tout aussitôt les banquettes se garnissent.

Dans un grand discours fertile en bellese envolées oratoires, M. Aristide Briand indique les raisons qui doivent guider la Chambre vers la réforme électorale. Avec vigueur et netteté, il prend position contre ie scrutin d'arrondissement, rappelant que le pays l'avait condamné aux élections de IQIe, et de IQI4.

Si vous voulez que le suffrage universel garde sa confiance dans les promesses électorales. s'écrit-il, vous ne pouvez plus re venir devant le pays sans avoir fait la ré' forme.

L'extrême scauche et les proportionnalistes applaudissent longuement.

M. Aristide Briand. - Après avoir conduit le pays à la victoire, ses représentants ont le devoir de lui donner l'instrument indispensable aux grandes réformes qu'il veut voir réaliser et au premier rang desquels est la réforme administrative. avec la constitution de grandes régions répondant aux affinités économiques. Je ne veux pas croire, j'estime qu'il serait indigne de ce Parlement de laisser se propager dans le pays l'impression que tout va recommencer comme avant la guerre.

Nous aurions conduit la France à la vic toire et quand elle nous demande un remède pour les maux du passé et les (kfficùltés de demain vous viendriez lui répondre par le scrutin "'d'arrondiss,emcnt 1, ce n'est pas possible !

Ces paroles sont accueillies par--des bravos prolongés. ,.: M. Briand termine en déclarant qu'il est attaché à la proportionnelle, mai.s qu'i.l ''e"t décidé à voter le projet de la commission il supplie la Chambre de persister dans ses votes antérieurs en votant la réforme électorale. L'ancien président du conseil est longuement applaudi. La clôture de la discussion générale est votée et la suite de la discussion est renvoyée à la séance de lundi après-midi. La séance est levée à 7 h. 20.

Après la Séance

La forte impression produite par le discours de* M. Briand s'est traduite aussitôt après, dans les couloirs, par des commentaires animés où de nombreux députés se sont complu longuement. A vrai dire, la plupart étaient d'accord pour apprécier la haute portée d'un discours-programme qui a été un véritable acte politique par lequel M. Brian-1 s'est posé comme rhonime de demain, non sans avoir fait courageusement entrevoir l'avenir qui est plutôt sombre pour la France victorieuse. On estime énéralement que ce discours aura une grande répercussion dans le pays entier.

A -el Sénat

La Séance

Paris, 21 mars. - La séance est ouverte à 3 h. 20, sous la présidence de M. Antonin Dubost.

LA PRIME DE DEMOBILISATION

L'ordre du jour appelle la discussion du projet tèndant à instituer une prime de démobilisation. Le rapporteur, M. Millès-Lacroix. lit les conclusions de son rapport.

Le projet, dit-il, comporte une dépense de plus de quatre milliards. Le Ministre des Finances n'aurait pas dû accepter cette charge. La commission des Finances se borne à demander le vote du projet sans modification, de crainte qu'une nouvelle discussion n'amène de nouvelles surenchères.

La discussion générale est close. L'article premier est adopté. "-

M. Hervey. sur l'article 2, propose de faire une distinction entre les militaires de l'intérieur et ceux de la zone des armées. M. de Lamarzelle proteste contre la disposition selon laquelle la prime ne sera payée que pour l'excédent du temps légal dû par la classe de recrutement de l'intéressé.

Le gouvernement se prononce nettement pour une interprétation large et conforme à celle de la commission. L'article a est adopté.

Les articles 3 et 4 sont également adoptés.

Sur l'article 5 (paiement de la prime), le sous-secrétaire d'Etat dit que ceux qui sont déjà démobilisés recevront à domicile leur titre de paiement. Les autres le recevront au moment de leur démobilisation.

Les articles 5. 6, 7, 8, o et les derniers sont adoptés. L'ensemble du projet de loi est adopté par 223 voix contre 1, sur 223 votants,

ECHOS

UN tlEtJIL DANS LA PRESSI-4 TUNISIEN E

Nous avons appris avec douleur le décès, à Salonique, de notre excellent confrère Io commandant Destrées. directeur du Courrier de Tunisie.

Journaliste énergique, — antimilitariste d'avant la guerre - Auguste Destrées partit pour le front dès le premier jour. Blcssé grièvement à la bataille, de l'Yser, il subit de longs mois d'hôpital. Incomplètement retabi, il repartit pour les Dardanelles, puis fit la campagne de Sel b;r. i' gagna gi.

rieusement ses galons, ses décorations, la croix de chevalier de la Légion d'honneur.

Commandant de la place de Salonique, il vient de mourir sur un lit d'hôpital. à la.

villa Allatini, emporté par une bronchopneumonie. à la veille de la démobilisation.

C'était un journaliste probe, intransigeant, sympathique à tous, même à ses adversaires, malgré son apparente violénce.

La presse parisienne est unanime à dé-' plorer la perte d'un excellent confrère.

Nous joignons nos condoléances à celles que ses nombreux amis ont prodiguées à sa famille déjà cruellement éprouvée.

'I\!\I\AI\I\,J\N

SERVICE AGRICOLE GEKER DU DEPARTEMENT D'ALGER

Les bureaux de M. Vivet, chargé des fonctions de chef du Service Agricole Général du département d'Alger, en remplacement de M. Foussat, décédé, resteront installés, 5, rue Alfred-de-Musset (Arsenal).

1

LE CAFE

La Ville de Constantine vient de recevoir 20.000 kilos de café qui est revendu au public au prix de 4 fr. 25 le kilo! -

La vente a commencé ces jours-ci.

Les Constantinois sont des gens heureux.

,,"",","v.

A. de la Salle, 3, r. Zola. T. 25-28. Immeubles

V\,'"

CITATION

A l'ordre de la division:

WATISSÉE Georges, sous-officier mitrailleur d'un beau sang-froid et d'une rare bra- voure, qui a toujours fait preuve de belles qualités de chef. Tué le 26 mars lol8, en dirigeant le feu de sa section qui enrayait une attaque ennemie. Déjà cité.

G. Watissée était le fils de 1'1. Watissée menuisier apiculteur au Ruisseau, Alger.

.N\N\AI\I\':\. v

CONFERENCE EVANGELIQUE

.————————————— ,¿ ————Demain dimanche 23 mars, la conférence évangélique, publique et gratuite, sera présidée par un missibnnaiM. à 8 heures du soir (heure légale), dans la sale évangéh-, que. rue Drouillet. '5 (44, rue Michelet), à Alger.

Sujet : c Le point tournant ou une grande décision ».

UES O&NS SOCIALES

*

Nous avions, avant la guerre, traité daqs

l'Echo d'Alger quelques questions relative$aux améUorationyàappo~cràîa via

ouvrière concernant l'éducation, l'apprentissage, création de maisons ouvrières, contrat de travail, arbitrage, rapport entra.

le capital et le travail, etc.

La guerre, amenant de profondes perturbations. dans toutes les classes de 'a

Société, nous a donné des soucis plus immédiats et d'un caractère autrement angoissant.

Il s'agissait alors de vaincre, tous nos efforts devaient être dirigés vers ce but et à ce moment toute autre préoccupation n'était qu importune. ",

Le mot fameux de Clemenceau « Je 1S

la guerre restera célèbre par la precision avec laquelle il résume l'orientation des pensées de f tous et des efforts de nos gouvernants.

La guerre s'est terminée victorieusement pour nous, plus même - que nous n'aurions osé l'espérer ; la démobilisation va s'effectuant normalement et bientôt la via reprendra son cours ordinaire. ,'" <,0

Les ateliers fermés rouvriront leurs portes, les entreprises reprendront leurs gros travaux et le poilu, reprenant ses outils.

sera en droit de se demander, lui qui a su tout abandonner pour aller au secour3 de la Patrie attaquée, qui a fait le sacrifice de son repos, de ses joies, ce que ia France de demain fera pour lui. , 1

Car s'il n'est pas le seul, certainement, qui, par son courage et son endurance, ait contribué à donner la victoire à la

France, on peut dire que la classe ouvrière formant la masse du. peuple, plus nombreuse par conséquent, a participé plus que les autres au triomphe du droit et de la justice. - '- - r

Or, si nous avons eu des chefs de génie, dont la haute science militatire s'imposant à l'admiration de tous. a vaincu la formidable organisation militaire de I'A!!emagij<:.

ne pourrons-nous avoir des législateurs clâirvoyants qui, inspirés d'un amour ardent pour la juste, chercheront à amener dans la Société, sinon une égalité par- faite, du moins un juste équilibre entre tou- tes ses classes..

Comment supposer que des homme!

que les hasards de la guerre ont réunis sur le champ de bataille, qui ont vécu si longtemps de la même vie rude, périlleuse, qui ont souffert les mêmes privations, qui se sont bien souvent aidés, soutenus moralement pendant des crises fort corn.

préhensibles de découragement, qui se son: dévoués, secourus fraternellement, qui onl offert simultanément leur vie l'un pOUI l'autre, puissent, revenus dans la vie ci.

vile, être séparés par des conventions so.

ciales, par des préjugés aussi désue!

qu'immoraux.

Cette situation d'après guerre ne va-tetlas enfin briser cette barrière qui s'élevait souvent infranchissable entre la patron et l'ouvrier, entre le chef et son collaborateur, entre le propriétaire et ses travailleurs?

Cette camaraderie qui s'était établie entre eux dans les camps, cette égalité de.

vant le danger qui avait supprimé les inégalités du sort vont-elles être détruites par les nouvelles obligations que chacun, revc. nu à la vie normale, -flura à remplir?

Les Français n'auraient-ils qu'une seule ambition et la gloire militaire qu'ils viennent d'acquérir leijr _$\lft-e-lle r,


Vont-ils après avoir vaincu magninqus- ment par les armes, après avoir reconquis sur le champ de bataille une immortetle renommée de bravoure et de vaillance, être traités d'incapables sur le terrain économi.

que, industriel et commercial?

Se laisseront-ils dépasser dans les réformes sociales par des Etats qui, hier encore autocrates, avaient déjà réglementé d'une façon précise des lois qui devaient régir la masse des travailleurs?

Non, il ne le faudrait pas, et si jusqu'à ce jour, toutes les questions sociales étudiées, discutées, n'ont eu que peu d'applications pratiques, il est à souhaiter que la paix signée et les conditions de la vie ordinaire retrouvées, on se mette sérieusement à la besogne pour tâcher de faire aboutir tous les projets formés.

Ne sera-t-il pas nécessaire, pour donner à notre activité nationale une poussée vigoureuse, que chacun ait « le cœur - à foat'rjge » et ne faudra-t-il pas pour cela assurer à celui qui sera l'artisan de notre fortune la juste récompense des efforts qu'il aura fournis?

Par conséquent, une union étroite es à préconiser entre l'employeur et l'employé. -

Si l'un doit avoir un bénéfice résultant de l'emploi de ses capitaux, de la direction qu'il imprime à la marche de ses al faires, l'ouvrier à qui le patron a con ses intérêts mérite bien une part de cette fortune qu'il a aidé à gagner.

Quel intérêt y a-t-il pour la Nation que les uns aient de grosses fortunes, immenses même, tandis que les autres sont perpétuellement dans la gêne?

Est-ce pour obliger ces derniers à travailler comme des parias qu'on veut les maintenir dans l'indigence en ne leur al.

louant qu'un salaire modeste qui suffit à peine à les faire vivre et a-t-on peur que possédant un peu plus de bien-être, ils refunt de travailler ou ne travaillent que

selon leur bon plaisir?

Ce serait connaître mal la nature d~ l'homme que de le supposer capable d'une telle erreur. Bien au contraire, cette modeste aisance il cherchera sans cesse à l'accroître pour se constituer des ressources pour la vieillesse s'il est économe pour donner une meilleure éducation à ses enfants s'il est ambitieux, ou pour 'jouir enfin de satisfactions personnellesr de plaisirs que seul l'argent petft procurer s'il est insouciant.

- Et comment l'accroitre ce bien-être, si ce n'est en redoublant d'ardeur pour ga.

gner davantage, ce qui fait qu'en faisant ses propres affaires, l'ouvrier fera également celles de son patron.

Sans vouloir nous appesantir sur cette question qui fera,l}obje d'Mne étude par.

ti.culière, disooS,ïJou( terminer, que les Français se doivent désormais, après la iut.

te terrible qu'ils viennent de supporter

une confiance réciproque. ,',

Ceux qui sontàllés. fà- bas où tous les jours ils offraient courageusement leur vi, ceux qui, estropiés, infirmes, seront en état d'infériorité pour subvenir à leur exis tence, méritent bien un petit. sacrifice de la part de ceux dont la fortune est demeurée intacte.

Que faudra-t-il pour atteindr ce but?

Simplement une franche cordialité dans les relations entre patrons et ouvriers qUI n'empêchera pas certainement les discus sions, les divergences de, vues de se pro duire, mais qui permettra de régler toutes les questions avec le plus d'impartialité possible.

Mais pour ne pas créer d'illusion, ajoutons que cette Société idéale que nous rêvons et qu'on formera bien un jour, espérons-le, ne s'obtiendra qu'après bien des erreurs et des tâtonnements.

: - H ne faudra pas se montrer très exigeant dès le début. La perfection ne s'acquiert pas du premier coup. Ce n'est que par l'usage et par l'application qu'on con- naît la valeur des choses aussi bien que des idées.

Inspirons-nous des systèmes, des exem.

ples que les étrangers peuvent nous don.

ner à étudier; cherchons les moyens les plus conformes à notre tempérament nati.

nal et employons-les fermement sanS" considération ni de pÙJrti, ni de personne pour lé. bien-être de rhumanitê Souffrante.

C. s.

TRIBUNAUX 7

Cour d'Assises d'Alger

UDIENCE DU VENDREDI 21 MARS

TENTATIVE DE MEURTRE

Les faits reprocbésà raccusé Azuar Manuel se déroulèrent à Alger le 17 février ibig « Au cours. d'une rIxe survenue au Frais-Vallon, Azuar tirait deux coups de revolver sur le nommé Ribes, qui était grièvement blessé au ventre mais qui a pu survivre.

Défendu par M Roger, la Cour, sur la réponse du 1fY, a condamné Azuar Manuel à deux ans de prison.~

La partie civile obtient 1.000 francs, de dommages-intérêts.

FÊTES ET CONCERTS

ASSOCIATION DES SOUS-OFFICIERS DU

1" ZOUAVES

Les sous-officiers du l'f zouaves fêteront ces jours-ci, en un banquet, le départ de leur excellent camarade, l'adjudant .chef Ingviller Jérome, do la première compagnie du premier bataillon territorial, qui prend sa retraite après 20 années de bons et loyaux services. Ancien légionnaire, l'adjudant Ingviller est titulaire de plusieurs décorations dont la médaille militaire.

CRAND CONCERT DE BIENFAISANCE

Demain, dimanche, à 2 heures de l'aprèsmidi, grand concert de bienfaisance organi- sé par la société philharmonique l' a Union de Bab-el-Oupd a présidée par notre ami, M. Seigné, et dirigée par son sympathique chef, M. Havard, au profit des deux groupements : l'Amicale des Mutilés du département d'Alger et l'Œuvre municipale de rééducation - professionnelle des mutilés de la ville d'AIIYcr.

Des àrtistes renommés de notre ville prêteront leur concours. Le succès est assuré, tant donnée la composition du programme.

LA RAGE A SA. DA

Saïda, 20 ma-rs. - Un chien, appartenant à M. Paoli, brigadier forestier en retraite, a mordu hier son maître, ainsic plusieurs habitants de la localité. Tous ont été dirig-és sur l'Institut Pasteur.

Depuis une quinzaine de jours, quarantetrois personnes ont dû être envoyées à AI,ger. pour subir le traitement antirabique.

La Vie Sportive -

Association Sportive AI8érolse. - Ce soir, réu.

nion au Bar d'Isly.

Assooiatlon Sportive Montpensier. - Dimanche maHn, entraînement aux sports athlétiques au atade Cheylard à partir de 7 h. 30. L'après-midi les deux équipea premières rencontreront respec'tmeBt eetlee de l'A. 8. A. et du, B. 8. A. Les MeaipKra Noat ooa" à ¡ k, 3% M lo~.

L'Affaire Cachot

Les deux inculpis, Vallespir et Ar., réza, tentent de s'évader de la prison civile. Leur projet ne

réussit pas.

11 y a quelques jours nous avons annoncé l'arrestation d'une personne, touchant tii2 très près à la famille de l'un des incubas de l'affaire Cachot, dont nous ne donnions pas le nom afin de ne pas. entraver Fac~on de la justice.

La nouvelle arrestation opérée est celle de la nommée Marie Vallespir, née Anton.

âgée de 46 ans, épicière au marché de Bel.

court, mère de l'inculpé Vallespir et de Ü.

femme Rose Vallespir, récemment arrêtée à Oran. Cette femme est inculpée de complicité dans le crime de la rue Bab-Azoun. Mais il y a encore autre chose. et les investiga- tions très habilement menées par M. Detchessahar. commissaire principal, contrôleur général des recherches judiciaires. assisté do MM. Boldoduc et Laisné, commis- saires de la Sûreté et des dévoués inspecteurs et agents de la brigade Hudry. ont fait découvrir de nouvelles charges et onl amené les aveux écrits des inClllpes. de l'un tout au moins, Vallespir, dit « Fintin ».

Reprenons les faits.

LeIS: mars dernier. à la suite d'une raÎlc faite par M. Chuquet et les agents de la brigade mobile, il était procédé à l'arrestation - nous l'avons signalée à nos lecteurs - d'un ancien pensionnaire de la prison de Barberous se, qui avait récemment quitté cet établissement pénitentiaire. Il avait été acquitté par la Cour Correctionnelle. Cet individu qui avait été cueilli, dans la nuit du 14 au 15 courant, au domicile de sa maitresse était conduit à la geôle de la Sûreté.

rue de Tanger; aucours de fouilles pratiquées chez la « da deux brownings de forte di,meX\sion 'ét .t trouvés. Mais le nouvel arrêté, un évadé de l'atelier de travaux publics, ne voulait rien dire; pressé de questions. il finit par reconnaître qu'ad cours de sa détention à la prison, il avait été en reJations avec ses co-détenus Arréza et Vallesfir; des papirs étaient trouvés sur lui, tout un échange de correspondant aVCt Vallesuir dit « Fintin l, iniquant des préparatifs pour une évasion prochaine, étau saisie; de cet ensemble de billets échangés, découlait la. preuve de l'intervention de Id dame, Vallespir, mère, et de sa complicité.

1 Dans une des dernières lettres à sa mère.

¡ Vallespir disait : -« donne, à l'individu en question, de l'argent suffisamment. pOUl qu'il puisse acheter des armes; paver un contrebandier espagnol et que nous pi-cillons la fuite ])t. Donc, la mère Vallespir était au courant.

LES PERQUISITIONS. -

L'ARRESTATION DE LA DAME

VALLESPIR

C'est alors, pour la deuxième fois, et avec les précieux renseignements recueillis, qu'eurent lieu les perquisitions chez la dame Vallespir mère; elles furent opérées par M. Detchessahar," contrôleur des rèchcrches judiciaires, assisté de IM. Boldoduc et LaistliQ et:. des agents de la brigade Hudry..

Au cours des recherches opérées. très habillement, une somme' de 305 francs a été écouverte dans une armoire; la dame avait également dans son corsage 550 fr. en bil- lets de la Banque dé France et presque neufs., qu'elle &. remis aux agents. Elle a reCOnnu qu'au cours de la précédente perquisition. elle avait dissimulé une somme de 4,000 francs aux investigations ; elle ne put indiquer complètement la diminution de cette somme. Elle déclare avoir remis a.

sa fille Rosé. avec qui elle était très mal avant le crime, celle-ci se conduisant mal, une somme de 2,000 francs.

Depuis le crime de la rue Bab-Azoun. la fille et la mère se sont remises d'accord. La dame Vallespir reconnaît n'avoir remis à l'individu qui; devait faciliter l'évasion, qu'une somme de cinq 'francs.; lui, au contraire.

dit que c' est rto francs qui lui ont été donnés, il l'établit par les dépenses qu'il a faites.

La dame Vallespir déclare qu'elle avait cette somme de 4,000 francs depuis le début des hostilités et qu'elle avait pu la récupérer, elle, tenancière d'un petit magasin d'épicerie. en cessant tqut payement ; une enquête faite auprès des fournisseurs a démontré que ces déclarations n'étaient point exactement vraies. Cette omme, que la dame a fait disparaître, était comnosée de billets de 1..000 et de 500 francs. D'autre part, on se souvient que la part revenant à dlaque inculpe, à la suite du partage du vol, s'élcvai à 4.000 francs.

En présence de tous ces faits concordance de la somme, lettres du fils à la mère. etc., la dame Vallespir mère. a été arrêtée et con, duitc devant le juge d'instruction, M. Beaulieu. -

LES SCIES A METAUX. -- LA TENTA" TIVE D'EVASION.,' LES BILLETS REVZLATEURS.

Nous avons dit 4up. Vallespir et Arréza avaient :formé: le projet de s'évader de la nrison civile et de gagner l'Espagne; tous lçs préparatifs,' avaient été faits, mais leur tentative a été déjouée, grâce au nair de l'inspétcut H<!ry dt. des dévoués agents de sa brigade.

C'est à la suite de la première lettreadrcs- sée par Vallespir à sa mère que le projet d'évasion avait été connu. Pour mener à bien cette affaire, une somme de 540 francs avait été remise, par la mère de Valespir, au co-détenu. à, l'envoyé de son fils.. La correspondance continuait entre l'ancien pensionnaire' de Barberousse et les inculnés, mais elle était savamment détournée; les bandits employaient le moyen classique, le petit « billet D placé dans le couffin aux vic tuaiUes, envoyé tous les jours à la' prison; le papier était bien dissimulé entre les tresses d'alfa, mais les indications fournies étaient des renseignements précieux pour ceux chargés de la recherche de la vérité.

C'est ainsi que l'on apprit Que trois petites scies à métaux, commandée, achetées et payées Idar Mme Vallespir mère, devaient être dissimulées dans la semelle d'une paire d'espadrilles qui devait être remise aux inculpés; ces scies, très souples et très solides'. étaient le premier outil nécessairc. Au cours d'une perquisition. elles ont été retrouvées chez un espadrillcur de Bab-el-Oued chargé dg la confection de la paire de chaus sures qui, pris de remords, au dernier moment, avait préféré ne nas les placer dans les semelles, suivant le vœu des inculpés.

De mêmob, les effets préparés pour l'évasion, oui devait se faire de nuit. ont été retrouvés dans l'appartement de la mère de Vallespir.

Des revolvers achetés par le co-détenu remis récemment en liberté, trois ont été également retrouvés par les Services de Sûreté.

Tout était prêt, mais la police veillait.

Les billets envoyés par a Finfin D - Vallespir sont curieux à être connus.

Dans un premier, il écrit de sa plus belle écriture : a Dis à ma mère qu'elle te donne de rarg-ent, sans faute, pour sauver nos têtes.

Nous sommes bons comme, des melons. Nous avons été donnés par Acquarullo. » Puis. : « Fais bien vite. on est poromé et bien pommé. Il faut qu'on se sauve le plus vite possible. Dis à ma mère de brûler les « brichtons » (les billets)..»

Dans d'autres billets échangés, Vallespir écrit à l'individu que toute la « came s (l'ar- gent) est pour eux trois, Arréza, leur co-détenu et lui ; t il ajoute « Si tu t'étais dénê- ché pour qu'on s'en tire, on serait entraiu.

maintenant de se frapper une anisette D.

Comme on le voit. ils ne doutaient de rien.

Cependant Vallespir ne veut pas indiquer, malgré les notes pressantes de son camarade en liberté, où sont l'argent et les bijoux; il le dit bien vaguement, du côté du Jardin -'d'Essai. mais Arréza l'empêche de « cracher complètcnlent le morceau D.

Par un dernier billet, Vallespir a appris l'arrestation de sa mère etcoinine le camarade ne marche plus pour faciliter leur évasion. puisqu'ils ne veulent pas indiquer est la fortune volée. c Tintin ? écrit un dernier mot. désespéré celui-là : « Tant pis' Je vais me laisser couper la tête ! Tu avouerasquc mourir à2; ans, c'est terrible 1 Tâche d'aller voir ma mère et dis-lui de ne pas se laisser c <;haq-ir.) (intimider) par les juges ët qu'elle la fcrme J.

On voit doc par ces différents biUeta

que les inculpés Arréza et Vallespir recon- naissent le crime dont ils sont les auteurs et qu'ils ont conscience de ce qui les attend.

AU PARQUET. - INTERROCATOIRE EMOUVANT. - A LA PRISON CIVILE

A la suite de ces récentes révélations et du résultat des différentes perquisitions, la dame Vve Vallespir. née Marie Antol. mère de l'inculpé, a été conduite devant M. Baude * chargé de l'affan~ lieuh jùg-e dinstruction cllarg-é de llztffaii»ï,

Cachot. l'interrogatoire a été des plus m.vants. Devant les charges accumulées sur son fils et sur elle, la dame Vallespir s'est trouvée. abattue et elle a pleuré abonr damment; elle a proteste de son innocence et a déclaré n'être en rien dans le crime horrible reproché à son fils., Elle dit qu'elle n'a, à aucun moment, voulu faciliter l'évasion de son enfant et qu'elle n'a rien fait pour cela; elle dément les affirmations du codétenu d'Arréza et Vallcsnir et dit : c C'est un professionnel de l'évasion, un menteur et un apache, dont je n'ai pas voulu me ser vir D. Mais les faits et les pièces à convictions sont là. et la dame Vallespir, après son interrogatoire a été placée sous mandat de dépôt.

Dans l'après-midi. M: Beaulieu. juc d'instruction, s'est également rendu à la nrison civile, où il a vu Vallesnir et Arréza; mais tous les deux, malgré révidcncc. ont continué à nier et à protester de leur In nocence. Clcst qu'ils sont, l'un et l'autre.

très forts et il sera difficile d'arriver à en tirer oulque chose. Pourtant, on ne doit point désespérer.

La dame-Vallespir mère, napas encore choisi d'avocat la fille. Rosé Vallespir récemment arrêtée à Oran et attendue à Al -<>r, a fait choix de Me Fontèbride, pour assurer sa défense. L'éléerant Acquarullo sera défendu par ,fe Colonna d'Ormno. Arréza et Vallespir sont assistés de Mes Gaillard et Teuffcl.

En tfrminant, adressons toutes nos Dius vives félicitations à M. Detchessahar. contrôteur général des recherches judiciaires; a MM. Boldoduc et Laisué. commissaires: à l'inspecteur de la Sûreté Hudry et aux zélés agents de sa brigade qui ont aidé puissamment à la manifestationde la vérité. S

A. S.

-

L'ALGERIE

à la Foire de Lyon

RESULTATS OBTENU

PARTICIPATION DE L'ALCERIE.

PERSPECTIVES D'AVENIR

(DE XOTRp ENVOYÉ SPECIAL)

La Foire de Lvon s'cst ouverte à la dat fixée. au milieu. (l'une affluence de vendeurs et d'acheteurs qui parah êtro sensiblement mpins grande que l'année dernière. 11 est incontestabic que les. incertitudes qui regnent actuellement en France sur la ten- dance des cours pèsent lourdement sur les affaires. Ceux qui ont gagné de l'argent en vendant très cher ce qu:il avaient achelé bon marché, ne semblent pas très disposes a tenter l'opération contraire. Néanmoins, le succès. est complet.

Le nombre des stand s occupés accuse une aniélioraion sensible, sur lÏs" adhésiol s recueinis en IQIS. La participation des étrangers indique combien cette grande manifestation économique intéresse les producteurs du monde entier. M.. Herriot, main de Lyon. el fait connaître, à la seancp d'inauguration de la Foire, que 415 stands étaient occupes par les Anglais, 618 par" "les Etats.Unis,. 154 par FItahe, ,ï40 par les Suisses. y? par les Espagnols et 44 par 1e3 Canadiens. Une collaboration de moindre imphrtance a été apportée par les Belges.

les Danois et les ,SuÓ'dois,

VÜnportacQ des adhésions a amené les organisateurs de la Foire a envisager le sectionnement de cette manifestation com.

merciale en deux partics ; Une. foire se tien- drait du 1er au 15 mars et .la seconde du 1er au 15 octobre. En présentant. cette proposition, qui a été adoptée a l'unanimité.

M. Hcrriot a dit :

« Notre succès a été si grand que nous avons cette année refuser des centaines d'adhérents, ne disant que de s.~3 stands. Comment admettre, l'an proc h ain, mille ou deut mille adhérents- de plus. Notre Palais de la Foire est commencé, mais il ne era. pas achevé avant nlusfcuts années. D'autre part, les hôtels et logements manquent à Lyon pour recevoir tant de participants et d'achete'urs. Dans rintérét à la fois de la Foire de Lyon, dans l'intérêt même du pays, il faut deux Foires chaque année. Donnons à notre œuvre tout son développement. ?

La Foire ile printemps comprendra les articles suivants:

Soie, bi ioutcric: horloec matériel de filaturc; -laine, coton, pelleterie, chapellerie, confections hommes, chemiserie, confec- tions dames, lingrie. bonneterie, corsets, alimentation liquide, chaussures, tannerie, ¡maroquinerie" lustrcrie électrique, céramioue, parfumerie, bimbeloterie, papier, jmprimcrie industrie de la vapetcric, photo graphie, automobile.

,, La Foire d'automne sera réservée aux articles ci-dessous :

Fournitures industrielles, quincaillerie, mécanifJue, métàllurg-ic, construcÜüns in" dustriclles; caoutchouc industriel, chauffage et éclairage, armes. machihcs a coudre, construl'tions électriques, mobilier des ég-lises, bâti mont mobilier, instruments de musique, arts décoratifs. produits chimiques médicaux. instruments de chirurgie, industrie chimique ,J{énéraJc. matériel agricole, Drimeurs et fruits. alimentation solide, transPolts et tourisme. gouvernements étrangers et coloniaux, aviation et automobiles.. .**

Comme pour les années précédentes, l'Al- géric a été fort bien représentée. Les dépar temcnt d'Alger et d'Uran ont réalisé un effort considérable. Tous les produits de la Colonic sont fort bien présentés. Un publk nombreux se presse devant ces échantillon.: bien présentés et émet souvent .des alJpré- ciations les plus flatteuses sur nos produits.

Les vins, les alcools, les produits alimentaires : pâtes et conserves, retiennent tout particulièrement l'attention. Des spécialistes soccupent. d'autre part, d'une façon .particulière des alfas, du crin végétal, du kicsel~hur .t de toutes les matières premières st négligées jusqu'à ce -jour par l'industrie française.

L'initiative privée s'est égalcmnt manife-i tée pour la première fois d'une fa 0n appréciable. La Maison Borgeaud, d'Alger, po sène une exposition très complète de. prrjdUIts algériens ; Mme Carri~c, d'Alger. constitué une très intéressante collection des beaux tapis sortant de sa fabrique école et où trouve dans les beaux stands tout ce que l'ébénisterie et les arts indigènes ont produit de mieux. ,

Dans son ensemble, la section algérienne répond bien à ridée qu'on se fait d'une exhibition de ce g-cnre. Malheureusement, le Comité dt: la Foire- de Lvon lui a réservé des stands dont la disposition trop étroite est des plus fâcheuses et ne permet pas de mettre complètement en valeur les produits algériens. C'est ainsi que, faute de place, il a été impossible d'exposer certains échantillons trop volu'mineux.

On a donné aux délégués de laColonié oui sont M. Maria pour les (lépaTtemcnt d'AIg-er et de Constantine et MM. Déchaud et Paès pour celui d'Ora~ l'assurance que l'année prochaine toutes les disoositions seront prises pour que l'Algérie soit plus largement et plus confortablement logée.

.-:t:*

Cette assurance - très sérieuse - crée aux exposants. algériens l'obligation de réaliser un nouvel effort. Car s'il est évident que pour les fabricants ou producteur français une foire n'est pas une exposition, nous pensons que pour l'Algérie c'est le contraire: nous devons faire connaître ax milliers de visiteurs qui défilent devant nos vitrines, nos produits, non seulement pour les vendre, mais encore pour les faire connaître, pour révéler à beaucou-p de gens qui l'ignorent encore l'immense valeur de notre colonie.

Il faut donc que pendant les dix-huit mois qui nous séparent de la prochaine foire puis_qu ,l'AlgéI:Í" n'exposera plus qu'en octobrc lQ20. les producteur$ algérie.ns.-. répondent plus a~ncreusemcnt aux appels des or-

ganisatcurs et leur apportent sous-la forme d'échantillons bien présentés le conçours dont ils ont besoin pour mener leur tâche à bien.

Que nos trois départements s'inspirent de l'exemple qui leur est donné par ta Tunisie et le Maroc et surtout par ce dernier navs où_ l'initiative privée a constitué auprès de la section ofticiellè une petite section privée des plus intéressantes.

To.ut le monde doit, dans la limite de ses moyens, collaborer à cette œuvre commune. Il ne faut pas que nos producteurs oublient Que la situation actuelle, si pleine de besoin et si favorable à ceux qui produisent, prendra fin et qu'après .cette période facile on se retrouvera. en présence dune concurrence vlus féroce que jamais et que'l'avenir sera à ceux qui auront préparé la paix pendant la guerre.

Jean d'ALGER.

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Conseil Municipal dAlger

SEANCE DU 21 MARS ïQtQ

La séânce est ouverte à 5 heures par M.

de Calland. maire.

Le Maire fait les diverses communications suivantes : 1.

En ce qui concerne le monument aux Iorts de la ville d'Aller, M. de Galland indique les conditions dans lesquelles ÍOllÇtionneront les deux commissions qui ont été créées.

La population, ajoute le Maire, nous en avons. l'assurance, entendra notre appel et aura à cœur de contribuer, en un éiau de générosité et de gratitude patriotique, à 1 hommage qu'il conviellt de rendre à nos glorieux soldats.

Sur le livre d'or. dont s'honore la Cité, nous aurons, avec une légitime fierté, le de voir d'inscrire les noms de 4.227 soldats tués ou disparus (i). Il y faut réserver une belle place aux mutilés et aux blessés auxquels nous envoyons notre salut ; et aussi aUÁ jeunes héros dignes d'émouvantes citations.

Les souscriptions Deuvent être adressées soit à la Mairie soit aux maisons de banque. Les listes des souscripteurs seront publiées par les journaux de la localité.

'- Le iaire adresse ses félicitations à M.

Rutavand, ingénieur en chef des Ponts-etChaussée fait chevalier de la Légion d'Hon* ne'ur.

.- Le Conseil municipal de Lisbonne; touché des sentiments de sympathie qui lui ont été adressés par le Conseil municipal d'Alg-er. à 'là suite de l'odieux attentat dont a failli être victime le Président de la RéDu.

blique portugaise, remrcie chaleureusement les membres de notre Assemblée communale.

Le Maire donne lecture de la lettre transMise par les soins de M. Ribeiro Mendon- ça, Consul général du Portugal.

.-'- Le Maire, lit la citation éloieuse dont M. Michaelef. officier d'administration de classe à l'ambulance 272, a été l'ohipt.

Cest le fils de notre collègue et ami Mtchaelef, conseiller municipal.

— Le Conseil municipal adresse l'exprès* sion de sa sympathie attestée à la famille de notre dévoué collaborateur Bernard-Louis.

mort samedi dernier.

L'ORDRE DU JOUR Le Conseil adopte, sans observations, lusieurs rapportsclatifs a des baux. et locations.

Sur rapport de M. Chatel, adjou~t, est adopté un projet tendant à l'aménagement des cimetières pour la création de nouveaux caveaux 4 columbaria » et de nouvelles tonibes. Un crédit de 240.260 francs est prévu pour ces travaux qui s'eSectucraient en trois étapes et par adjudication.

M. Marquand fait observer que dans deux ans le plein de nos cimetières sera complet et qu'il est urgent, en effet, de prendre des mesures. Le crédit est adopté.

Les conclusions d'un rapport fait par M. de Calland sur le vote de centimes additionnels pour l'exercice 19IQ. sont ogtées par 12 voix contre 3 et une abstention.

M. de Redon, qui a voté contre.. fait un cxnosé très intéressant, montrant avec évi.

donce que les quatorze millions - découlant 4c la suppression des imnôts arabes seront supportés par les Européens exclusivement, pt pour une lourde part par la population q'Ahrcr. * - .1:L'oratevr s'élève ;unc foi de tJlus contre cette iniquité et contre le vote des Dêlégations FipÍlncièrcs qui l'a sanctionné.

:, Sur rapport de M. Jousseiln, les crédits écessaires - sont votés pour l'agrandissement de l'école d'apprentissage à Musta.

pha. rue de Lyon.

Sur rapport de M. Blasselle. adjoint, le Conseil adopte le projet relatif à la création d'une brigade cycliste prise dans le cadre actuel. Un brigadier et quatre hommes seront affectés à ce service, qui consistera à rayonner et à parcourir la ville dans tous les sens.

Incidemment. M. Blasselle fait; cOlinaître ciu'il étudie actuellement la réorganisation de la police mHnicipale. Elle se rapprochera. de celle de Paris. et M. BJasscllcesnn ftu'on peutattenilre de cetic réorganisation debons et salutaires effets.

Le Conseil adonte sans observations plusieurs ranports: relatifg au service des eaux, notamment le forage d'un nouveau puits à laHaèh.

'j La séance est levée a 7 beures 30.

A TRA VERS ALGER

LE DRAME DU BOULEVARD BUCEAUD.Bien que son état se-soit. amélioré, la dam .Gdn'a pu être encore interrogée. elle est toujours à l'hôpital civil. -

D'autre part, l'état de M. Ernest Baranèm. Messé d'un coup de rasoir s'est aggrava très sensiblement; une opération difficile et douloureuse <t été nécessaire ; il n'a pu se rendre au eomousstfiat du 41 arrondissement.

M. le juge d'instructiçn Bouysson a. été charge do cctto affairé.

it4 do cetto affaire.

Société Coopérative L'ABEILLE ALGERIENNE A ALGER C'est dimanche 3 courant, à 9 heures, qu'aure lieu l'assemblée générale au Casino, rue 'd'Isly.

tM~AMWt

ENCORE DES VOLS!—Mme Bouvan de

neurant chemin du Télemly, villa des HirondeliCI¡, est venue déclarer au commissariat qu'hier, entre 11 h. et midi, on lui a dérobé 3 draps de lit d'une valeur de trois cents francs. Une enquête est ouverte pour retrouver ces drapa de lit qui étaient étendus dans un petit jardin attenant à la villa.

- Hier, à 8 heures du matin, M. Ruiz Gaspard, capitaine de navire. de passage à Alger, demeurant rue Thuillier, ino 1. avait accroché sa veste a. une patère à bord de la goëlette CI Louise JI. Lorsque le capitaine voulut reprendre sa veste, il constata la disparition de son nortefeuille contenant 500 fr.

Plainte déposée et enquête ouverte.

, En ouvrant sa gargote hier matin, à 8 h. 35, le nommé Kerim Mohamed el Hadi.

38 ans, demeurant rue Boutin. 15, a constaté que dans la nuit de jeudi, des malandrins lui ont dérobé pour plus de cent francs de linge.

;.c.,.. A dix heures du soir, le nommé Khadiche Abdelkader ben Laïk. 51:f ans marchand de bestiaux, demeurant 'Villag-e-Nègn:, à Ocan, a déclaré que se trouvant dans le train à destination d'Oran, il s'est aperçu à un moment donné que la djebira qu'il portait sous ses vêtements, contenant la somme d(i. 18.000 francs, avait disparu.

Une enquête est ouverte.

tM/W~W~

TOUJOURS LA MEME. - Hier matin à 8 b. 30, Mme Favregoul, employée au Crédit Lyonnais, a été renversée par une auto militaire - toujours la. même dont une des roues lui a. passé sur la jambe gauche. L'auto ne s'est pas arrêtée.

Banlieue d'Aller

HUSSEIN-DEY

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Direction Cerlini. - Demain dimanche, soirée excetionnelle, à 9 heure, offerte par la troupe de comédies A. Sauveur, dont les exoellents arLates interpréteront la désopilante et hilarante.

pièce en 3 actes de fou rire : LE CONTROLEUR DES WAGONS-LITS qui obtiénten ce moment un grand succès sur les diverses scènes d'Alger.

Location ouverte dès aujourd'hui, de 5 à 7 h.

du soir. Consulter l'affiche du jour

.(1).. Militaires morts pour' la France, du 4 août IQI4aU 21 mars IQU) : 3.130 ; Inihtaires disparus du 4 août 1Q14 au ZR. Mals lQIQ : t.ooy.

Dernière Heure

Cnseil de Guerre interallié

COMMUNIQUÉ OFFICIEL

Paris, 21 mars. - Le Conseil suprême des alliés s'est réuni cet après-midi, de 3 heures à 6 heures. Il a envisagé sous leurs diffé- rents aspects, la question polonaise, ainsi que celle du transport. des troupes du général Haller en Pologne. La prochaine séance aura lieu demain à II heures.'

-

L'assassinat de Jaurès

QUELQUES TEMOINS AU PROCES Paris, 21 mar. - Dans le procès Viltain, dont les débats devant la cour d'assises de la Seine s'ouvriront lundi, parmi les témoins de l'accusation figurent MM. Renau- del et Georges Weil, ancien député au Reichstag; ceux de la partie civile comptent

MM. Sembat, Painlevé, Jouhaux, Viviani

Ernest Lavisse, Anatole France, Monsei- gneur Baudrillart, Ribot, Denys Cochin, etc.

En. Angleterre

ON ESPERE QUE LA CRISE OUVRIERE

SE DENOUERA HEUREUSEMENT Londres, 21 mars. - La situation restera indécise, tant que la triple alliance industrielle ne se sera pas réunie pour prendre une décision sur l'attitude à adopter à a suite des offres faites par le gouvernement aux trois syndicats des mineurs, des cheminots et des ouvriers des docks.

M. Thomas, secrétaire du syndicat des cheminots, a publié un avis invitant le syndicat à se rappeler les difficultés particulières de Pheureprésente et par-dessus tout à se rendre compte que la grève, instrument dont' les ouvriers doivent toujours avoir la libre disposition. est un moyen d'action auquel il ne faut avoir recours que lorsque tous les autres moyens ont échoué.

Les délégués mineurs délibèrent aujourd'hui sur les recommandations vréscntes dans le rapport du iu-c Sankey et acceptées par le Gouvernement. D'autre naît, les délégués des cheminots tudient les nouvelles offres faites hier soir par le Comité exécutif des réseaux. Les cercles travaillistes parlementaires estiment que les popositions faites aux mineurs et aux cheminot's au nom du gouvernement sont très accentables.

Concernant les ouvriers des ports, la situation est considérée comme beaucoup moins critique et un accord semble certain à la suit des entrevues d'hier soir, entre les re présentants des ouvriers et les autorités dc& ports. ,

LA CONQUETE DE LIR

Alicante-Toulouse en cinq heures

Toulouse, 21 mars. - Un avion monté par le lieutenant Junquet et deux habitants de Toulouse est parti hier, à 12 h. 30, d'Ali- çante. et a atterri à 18 h. 30 a Toulouse, nal-courant, malgré le mauvais temps. 900 kilomètres en cinq heures.

--

DANS L'ARMÉE t',

ETAT-MAJOR CENERAL DE L'ARMEE Sont promus dans la Ife section du cadre de l'état-major général de l'armée :

Au grade de général de division : le général de brigade Brégard., en remplacement du général de division de l'Espée, nlaé dans la section de réserve; le général de brigade Breton, en remplacement du général tic division Lartigue, placé dans la section de réserve; le général de brigade Gaucher, en remplacement du général de division d'Amade placé dans la section de réserve; le général de division a titre temporaire Leboucq. en remplacement du général de division Bourgeois, nlacé dans la section de réserve; le général de brigade Martin, en rem- placement du général de division Rois de Fonclare. placé dans la section de réserve; le général de division à titre tem-PQJaixc La Capelle, en remplacement du division de Maudhuy, placé dans la section de réserve..

Au grade de général de brigade : le colo- nel de cavalerie de Masson .d'Autumc, en remplacement du général de brigade de Saint-Just "'romu; le général de brigade à titre temporaire de Goudrecourt, en remplacement du rrénéral, de brigade Bréard, promu ; le général de brigade à titre temnoraire Laroque. en remplacement du général de brigade Poignon. placé dans la section de réserve ; le colonel d infanterie Paulmier, breveté. en rcmplacClllCnt du général de brigade Jullien, décédé; le colonel d'artillerie Ducros, en remplacement, du général de brigade Massemct. nromu; MM. de Combaricu. colonel d infanterie breveté. en remplacement du général de brigade Boé. placé dans la section de réserve ; Ferrié colonel du génie, en remplacement du général de brigade Caloni, promu. :

MM. Goybet, colonel d'infantericbrev.eté.

en rem placement du général de brigade GuevooIi de Dives. décédé: Fiévct, colonel d'artillerie breveté, en remplacement O.U --ènéral de brigade Breton. promu; Tabouis.

général de brigade à titre temporaire, en remplacement (lu général de brigade Gaucher. nromu; Benoît, colonel du R'é.nie. en remplacement du général de brigade Klein, nl~cé d" ans la section de réserve ; Tupinier, colonel d'infanterie, en remnlaccment du général de bric~de Martin. nfOmu.

LECION D'HONNEUR

Paris. 21 mars. - Sont inscrits au tableau soécial pour la Légion d'Honneur : ML Piotré. sous-lieutenant à titre tcnwo- raire au 7° tirailleurs; Duminy, capitaine à titre temporaire au se de marche de tiraii- leurs..

MEDAILLE MILITAIRE

A obtenu la Médaille miliaire : Michel caporal au e marche de tirailleurs, infanterie territoriale.

LA FOURRACÈRE

La fourragère aux couleurs du ruban de la Médaille militaire est conférée au 136 de marche de tirailleurs.

NOMINATION

M. Salvct. élève aspirant au 1er groupe d'artillerie d'Afrique, est nommé au grade d'asnirant - d'artillerie à titre temporaire, au 2e régiment (observation en ballon).

ARRIVÉES ET DÉPARTS,,

Liste des passagers arrivés par le paque- bote: Maréchal-Bugeaud J) :

MM. Bovet Louis. - .Berthault et Mme.

- Guérieu et Mme, - Mlle de Quilliocq.

- Mlle Sors. - Boret. - Raoux. - Desbiey. - De Lacousane et lHme. - Mme Hova. - Mme Raymond.— Mme Bouchet.

.,..,- Maillaud. - Gallauïet. - Loustalot et Mme. - Latreille. - Guiauchain. - Tascollier et Mme. - Mme Soui. --- Bonbonnel et Mme. — Dutillcy. +- Allemand. Ouabid. - Chenu, - Devaux. - Altenac.

- Deville. - Raymond. - Zermati. -Froment 8It Mme. — Alcarde. - Famille Parlier. - Bonnenfant.:..,.. Famille Coulombel. - Fossart et Mme. - Comtesse de Breseuil. - Mme Ingraham. - Mme Al.,.

tairac et deux enfants. - Mme Monier. Dëlarageaz. - Mme Gaillourt. - Mme Martin. - Vidau. - E. Keron. - Ginestet. « Boulle. - Duflos.. - Attard. - Sergent..,..- Mme Mida.va.nes. - Bœfils. Monier. - Visian. --- Giacoffi. - Houva.

-- Lefay. - Mme Morès. - Bena. - Richard. - Jussius. - Lajez. - Roufna.

- Segonds. - Botella et Mme. -- lme GuérPH. - Villedieu et Mme. - GUYot. Famille Bruslet. - Gouin. - Famille Dascng-eon. - Le Boudour, - Mme Guillaud'. - GolLiful. - Mlle Desmoulin. -

Saucède.- Famille Delapierre. - Mlle Lefort, - Mlle Léon Coulon. - Mme Ruau.

-- Mmes Liéo-eois. - Bigot. - Mme Labbv. - Mme Neuges. - Claret. - Lesteven. - Mme Laforgc. - Lefault. - Mme Ollivier,- Mme Monot. - GaiUac. --,.

Mme ChapujF. - Mme Faury. - Mme VOelilli. vierC, - Mlle Moerau. - Monteux et Mme. _:. Lefèbre. - Levezon de Vczius. -

Raybaud. - Serna. — Arnaud. - SwaIt.

- Lafarge. - Georges.

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Tout le monde comprendra qu'e menant une ..; ,vie régulière, adaptée aux conditions rh-

gicne moderne, ou devrait jouir d'uue bonne santé ; malheureusement, les organes n'ont pas la même résistance chez chacun. Beaucoup de personnes ont les reins faibles et on ne doit pas s'en étonner si l'on songe que l'appareil rénal.

mtimement lié à la circulation du sang, fone.

tionne dès la naissance et que sa tâche (i'ÏI;ni-, ner les résidus liquides et solubles de la combustion est excessive.

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dont le 4R énisodc est : AU milieu d.. airs.

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MondéSir, Monrêve, informent les personnes qu'

ont bien voulu répondre à l'insertion les concernant, devant l'impossibilité pour eux de retirer, les lettres poste restante, de bien vouloir tes adresser bureau du journal, sous le n, 1W-Oi

F xi1ée. - 14 mars. Dernier message reçu celui

J- premier courant arveo image endroit, suis dé.

solé. Jours meilleura répareront triste voyage.

Fois pas inquiète sur délai arrivée nouvelles qui mettent beaucoup de temps. Souffre énormément de pénible passage mais ai confiance dans avenir. Ecris longuement et sois convaincue de mes f;dèles et affectueux sentiments. - - 1 23.427. - 262 A. L. - 102. - M. B. - 104. D. A. - 12.137. - ,. - A. B. 0. 360. - A. T. 180.

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Réclamer lettres.

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Les Francs-Comtois. - A l'occasion du banquet qui aura lieu dimanche 23 mars aux Deux-Moulins, la Cie des C.F.R.A. réservera, deux voitures pour les sociétaires. Le départ aura lieu de la Place du Gouvernement à. 11 h. et 11 h. 15 et le même service sera assuré pour le retour à 6 h.

da soir.

Croix Rouge Française (Comité de l'U.F.F. d'Alger). - Les Dames du Conseil d'administration qti; devaient se réunir le samedi 22 à 10 h. 30 sont informées que le Conseil est remis à une date ultérieure. -

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Marcel Blandin et Mme, née Loverse, et leurs enfante: Lydie et Lolette ; M. Emile Gachet. et

}:me, née Loverae, et leur fille Eliane ; les

failles Bouzinac, d'Oran ; Blandin, d'Alger, et Cachet, d'Oran, pnt la douleur de voue faire part 1

de la perte cruelle qu'ils viennent d'éprouver en la personne de

Monsieur Joseph LOVERSE ,JO

Transitaire .- leur époux, père, beau-père, grand-père chéri et cilié décédé le 21 mars 1919, à l'âge de 66 ans, cr. vous prient de bien vouloir assister b. ses oh èques qui auront 'ieu aujourd'hui samedi 22 x::ar8. à 4 heures du soir.

On se réunira au domicile mortuaire. villa des Coteaux, près l'Olivage, chemin du Golfe, Mustv pha-Supéricur.

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SOCIETE AMICALE DES FRANCS-COMTOIS Le Président et les Membres du Conseil d'Administration de la Société Amicale des FrancsComtois d'Alger ont la douleur de faire part aux compatriotes de la perte cruelle que vient de fire là Société en la personne de

Madame OGER riathurin

Née LARCHEY Louis..

de Montbéliard (Doubs). décédée le 14 mars 1919.

¡¡'1-\\1 ",,::nITS NON INSEHES NE SONT PAt Rh.~!)t;S

Madame Veuve Gobet:--de8a.oula ; madame veuvo Girou, de Fermy (Aveyron) ; Monsieur Boyer et son fils, d'Alger ; Madame et Monsieur Firmin Girou et leurs enfants ; Madame et Monsieur Julien Girou et leurs enfants, de Fcrmy IA.ey.

ron) : Madame et Monsieur Jean-Pierre Gobet et.

loura enfants, de Durette (Rhône) ; Madame et Monsieur Barbaroux, de Boufarik ; Madame et Monsieur Iché et leurs enfanta, d'Alger ; Madame et Monsieur Lafont, de Saoula ; les familles Mauguin et Colin d'Alger ; ont la douleur de vous faire part de la perte irréparable qu'ils viennent d'éprouver en la personne de

-. Claude GOBET

Brigadier au f groupe d'artillerie : décédé à l'hôpital complémentaire n* 11, à Lyon, le 6 septembre 1918, à l'âge de 24 ans, leur fils.

petit-fils, beau-frère, oncle, neu, filleul et ami rt-gretté et vous prient d'assister à ses obsèques (lai auront lieu à Saoula, le dimajiehe 23 mars 1919, à 4 heures du soir.

Des voitures seront à la disposition des personnes désireuses d'assister à ses obsèques, devant l'Office d'Etat-Civil, 62, rue de Constantine.

ju-qu'à. 3 heures.

Réunion à Saoula, à l'entrée du village.

OFFICE D'ETAT CIVIL (L. Cosso-Gentil et Ci~, 64, rue de Constantine. Téléphone : Z7-03.

Madame et Monsieur Ganc Justin et leurs enfaflts :. Gaston, Yvonne, Charlea- et Paul, da Charon; Madame et v.nlsieul' Ga% Jules et Icrra enfants : Odette et Georges. de Cestayro's (Garn) -; Madame Veuve Gase, de Rfflières. et ges enfants; Madame Veuve Gasc, d'Albi (Ta-rn)"b Madame Veuve Taurines et ses enfants: Louis.

Marguerite, Françoise, Lucie et Alice, de Tirr£ian ; Madame et Monsieur Bonafous et leur fille Gilberte, d'Orléansville ) Madame et Monsieur Hippolyte Maffre et leur fils Jean, d'Orléansville ;

Les familles Bleys, Raphanel, :J;njarla.n, I)el- truel, Groc Bousquet. Houbet, de (,armaux : Aiauï, de Tarn,

Ont la douleur de vous faire prt de la verte cruelle qu'ils viennent d'éprouver en la personne de leur regrettée

4 Anna-Juretta" SAse

leur fille, sœur, nièce, cousine, filleule et alliée.

décédée à Charon, le 17 mars, à l'âge de 25 ans.

Les obsèques ont eu lieu mardi 18 mars 1919, à 3 heures du soir, à, Charon.

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11110 mère: M. et Mme Constantin Amarantihis eu leurs enfante: M. Jean Amarantinis: M. Denis Amatantinis; M. Maurice Amarantinis, mobUiRé-

M. Gustave Amarantinis; Mme Vve Gérôme Ama:'-"" rantinis et aea enfanta; Mllo Marie Acratopoulos prient leurs amis et connaissances de bien vouloir assister à" la messe qui sera dite le diDG.l¥Jhe 23 mars 1919 à 10 heures du matin, en l't griise ortodoxe serbe, au Petit Lycée de Mus- ; tapha. pour le repos de i'&me de leur bien l'e-.

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et de Me BENOIT, notaire à Koléa

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D'UNE

Propriété Rurale

connue anciennement sous le nom de FERME CALABRET. sise banlieue et commune de KOLEA, d'une superficie de 20 hectares environ, comprenant onze hectares cinquante arcs environ en vignes françaises, sept hectares cinquante ares cnviKon en partie ensemencés et le surplus en nature de jardin ou de verger ou occupé par les constructions, sur laquelle propriété il existe :

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1° Une MAISON DE MAITRE. 'él'C\ partie sur cave, d'uri rez-dib-cliaussée de 'sept pièces; -

2° Une GRANDE CAVE, pouvant loger. deux « mille sept cents hectos, moitié en bois, moitié en amphores;

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usage d'écuriel magasin à, fourrag s. avec ogement. de' J'mcr ;' $oV }!,A!$ON de cens.

truction récente. élevée d'un rez-de-chaussée, divise en quatre pièces;

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fixée par le .j.ug-cmcnt qui 'a ordonné la vente, laquelle mrse a prix sera haissée séance tenante et sans autre formalité au cas où elle ne serait pas couverte.

Frais de poursuite, de vente - et '* remise proportionnelle en sus.

Pour extrait:

Sig-né : Henri LEGRAND.

Pour plus amples renscismements. s'adrsscr en Pétudc de Me BENOIT, notaire à Koléa, chargé de la vente et dépositaire du cahier des char Q"cs. ou en ccUe de .M" LEGRAND, avoué à Blida, poursuivant.

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PREMIER LOT

Une Propriété connue sous le nom de a Villa Andree », située à Alger, lieu dit Plateau-Saulière, rue du PIf et rue Volta, de la superfi-

cie -de 71i7mètres carrésen viron/comprenant : -

Une maison. élevée d'un rezde-chaussée et d'un étag-c avec deux terrasses et jardin d'hiver.

Cave, buanderie et débarras;

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DEUXIEME. LOT

Une Propriété située au même lieu, comprenant:

1° Une g-rande villa dit « Villa Emma l, portant le n° 6 de la rue Volta. élevée sur cave d'un rez-de-chaussée et d'un étage. et couverte en tuiles; jaidin tout autour; garage ;

20 Et une maison d'habitation élevée d'un rez-de-chaussée avec premier étage sur partie. le reste en terrasse; petit jardin.

Le tout forme un ensemble occupant une superficie totale de 1.835 mètres carrés 60 décimètres carrés environ, et limité : par le chemin de la Solidarité. la rue Volta, et MM. Tettoni et Gimet ou acquéreurs.

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Jouissance immédiate.

Paiement du prix comptant.

S'adresser : pour tous renseig-nements. a Me Sabatier, notaire; et, pour visiter, à la concierge, 5, rue Volta, les mercredi et samedi, de 2 h.

à 6 h. du soir.

Syndicat des CaMM de Moment dll Marais des Sept PalmilJfS

Vadjudication des travaux d'approfondissement et de construction de canaux du Syndicat aura licu à la Mairie de Sidi-Moussa, le samedi 12 avril 1919, à io heures du matin, -

Montant. des trava ux. 36.310 00 Somme a valoir pour honoraires.. 3.600 .o

Total. ,. 40.000 00 Les pièces dtr projet sont déposées à la Mairie de SidiMoussa, où les intéressés pourront en prendre connais) sance pendant les curcs: d'ouverture de bureau.

Le Directeur, j

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¡dre d'environ 14.400 quintaux pour lesquels 11 ne era rien exigé. L'acheteur paierait ces blés au fur et à mesure de ses besoins à chaque livraisofi.

Il existe un approvisionnement de charbon de bois et de sacs vides p rmettant de marcher jusqu'afin juillet 1919.

Pour visiter et pour plus am ples renseignements s'adresser sur les lieux à M. F. SCOGNAMlGLlO. père.

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Succession bénéficiaire

Casimir MARTIN

Le Jeudi, 27 mars 1919, à 14 heures, a la ferme Casimir Martin, banlieue d'Affreville, près de la gare P.-L -M., 11 sera vendu aux enchères publiques :

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ayant M' Deluca. pour avoué ¡consUtué, poursuivant, à l'enIcontr de M. N¡'¡Ct'f ben Youcpf ben Amara, négociant et propriétaire, demeurant à SaintiArnaud, co-licitant.

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A la requête de M. J. Chini, administrateur de la Société Algérienne de Lestage.

Par le ministère de M* J.

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Il sera procédé à la vente aux inchères publiques du navire Ok voiles (sablier) français a Timgad ib, de la jauge nette de II tx 06 et brute iq tx Q3, construit en bois à AIcr'ien IQIlayant les caractéristiques suivantes : lonueur Í6n),86" largeur 4m.72, hauteur sous le pont 1 m. 86.

Le dit bateau, après déréquisition, a subi d'importantes réparations.

Il sera vendu nu, avec son mât et antenne, sans voiles ni inventaire dans l'état où il se trouve, vu et aJ{réé. les acquéreurs ayant la faculté de le visiter dans la darse de l'Amirauté, où il est actuellement ancré.

La dite vente aura lieu sous soumission cachetée, et l'adjudication faite au plus offrant. Les vendeurs conservent la faculté de retirer le navire de la vente dans le cas où le prix minimum fixé sous pli fermé ne serait pas atteint.

Le paiement sera fait au comntant. 4 en sus, plus les frais, entre les mains du courtier.

Sitôt le paiement effectué, l'acquéreur sera tenu de prendre livraison du bateau, oui restera aux frais, risques et périls de l'acquéreur.

Les vendeurs se réservent de traiter de gré à gré avant le iour de la vente. 0

Pour tous renseignements comnlémentaires. s'adresser au courtier maritime chargé de la vente.

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Dissolut" on - de Société

Suivant acte passé devant Me, de Baron, notaire à Al.

ger, le 6 mars ioio,. M.

Alexandre Mazelli. négociant, demeurant a Alger rue Mon- taigne 11, et M. Victor Pégullo, liquoriste, demeurant à Alger, rue Thuillier, n° 3, ont dissous d'un commun accord, à compter du 6 mars ir'to. la Société en nom collectif formée entre eux aux termes d'un acte reçu parMe de Baron, notaire à Alger, le 20 août IQI7, oPublié conformément à la loi, pour une durée de vingt années à compter du lU septembre IQI7. sous les raison et signature sociales. Pe* gullo et Mazelli » et sous la dénomination de a D tstillerie Moderne *, avec siège social à Alger, rue Jean-Jacques- Rousseau, nO 16, et ayant pour objet la fabrication et le commerce des alcools et liqueurs et toutes opérations s'y rattachant.

Et par le même acte, M.

Mazelli a cédé à M. Pc~rullo, qui a accepté, tous ses droits sans aucune exception ni. réserve dans la dite Société dissoute.. moyennant un prix indiqué au dit acte et à la charge par M. Pégullo, qui s'y est obligé, de payer et acquitter toute la part à la charge de M. Mazelli cédant dans le Dassif social, de toute nature et quelle qu'en soit l'importance. avec droit à la jouissance dt' droits cédés à compter du 6 mars toio.

Un extrait du dit acte a été déposé à chacun des greffes du Tribunal de Commerce d'Alger et de 1. Justice de Paix du canton Nord d'Alger, le 20 mars iorg.

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