Rappel de votre demande:


Format de téléchargement: : Texte

Vues 218 à 218 sur 465

Nombre de pages: 1

Notice complète:

Titre : La Faculté de théologie de Paris et ses docteurs les plus célèbres. Moyen âge. [Volume 4] / par l'abbé P. Feret, ...

Auteur : Féret, Pierre (1830-1911). Auteur du texte

Éditeur : A. Picard et fils (Paris)

Date d'édition : 1894-1897

Sujet : Théologiens -- Paris (France)

Sujet : Université de Paris (1215-1793). Faculté de théologie

Notice d'ensemble : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb400085463

Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb35048018w

Type : monographie imprimée

Langue : français

Format : 4 vol. ; 25 cm

Format : Nombre total de vues : 465

Description : Appartient à l’ensemble documentaire : CentSev001

Description : Appartient à l’ensemble documentaire : BibICP

Description : Contient une table des matières

Description : Biographie

Droits : Consultable en ligne

Droits : Public domain

Identifiant : ark:/12148/bpt6k75728x

Source : Bibliothèque nationale de France, département Philosophie, histoire, sciences de l'homme, D-83869 (1-4)

Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France

Date de mise en ligne : 15/10/2007

Le texte affiché peut comporter un certain nombre d'erreurs. En effet, le mode texte de ce document a été généré de façon automatique par un programme de reconnaissance optique de caractères (OCR). Le taux de reconnaissance estimé pour ce document est de 86%.


à cette parole sacrée, inspiratrice du discours Bruni signa in sole c< ~MMO ~M, ils feraient apparaître en eux, pour le bonheur de l'Eglise, des signes de joie et d'allégresse. Ce discours était prononcé en i4i7 (i).

Cette môme année ou l'année précédente, les Pères du Concile pouvaient lire un nouveau traité du cardinal de Cambray celui déjà cité, r~«~on~<fe fE~/M~, du Concile général, <fK/M~/cMMocratM et des cardinaux (2). Sansdoute, leur conviction ctait faite et demeurait profonde sur ce point capital. Mais n'y avait-il pas encore à projeter, d'une part, à recueillir, de l'autre, quelques nouveaux rayons de lumière ? L'origine de la puissance ecclésiastique, le droit des ministres de l'Église sur les biens à elle appartenant, la plénitude du pouvoir dans la société religieuse, telles sont les trois parties du traité. L'origine de la puissance ecclésiastique est divine et apostolique, encore que certaines parties de sa hiérarchie ne présentent pas ce caractère (3). Le pape et les évêques ne sont que les dispensateurs des biens de l'Église. L'examen de la plénitude du pouvoir dans l'Église fait nattre des questions, non seulement du plus haut intérêt, mais essentiellement actuelles.

Où réside ce pouvoir suprême? Est-ce seulement dans le pape? Est-ce aussi dans le Concile ? Dans l'un et dans

(<) Opère, tM., cet. 9*7 et Miv.Oro<M Pe<ftde A~Moco, MrcKtM~ Came*nMOMU,<<eo/]~CtO MqMn~M~~pmM~M~M~MMM~~n~MM COtM~M C<MM<<M<MtMM JMTO <MMn<<0«OM &C<«MP,AaM<tCon<<<<tt<tW WtC<MMtttO ~~nxieN, <M<Mj!f.CCCCJTV/t.

(2) IMd., coL 995 et Miv. ThM<a<M de ~e~en~, Cone<<tt ~<tM'a~M, RtMMtn p<M<~tet< e< corftmo<MMt oM<oraa<<, M6erMtM<, <c~tM M C<MM~M CotM<<M<tOMt if.fD~V/f, oo, comme on Mt t !t Cn, « poat depoaMonem JoMDM pape XXm Ce traité n'e<ttpM autre que celui quit été tmphmé en <4~o (Ltonoy, Op. eM., tom. u. p.479) acoate tttre « Z~PatM<«<< BcetMMp, et 8. L n. d. (HMn. Reperd.n. M) soM cetoi-ci T~c(a<M <<e po<M<a~ pap<r e< oM<:<<M'<<a<< car~Mo~tMat.

(5) U eat dit de t'EgHae roBMiM Mater eat et nM~Mirt Et encore:

« RonMM Eccteahqua* în ptp.! et,Mrd!ntubosprincipaiiter repne'< sent~~tor, p<M pnncipaUa ahre membnnn eat Cooeim genertMa, in qao « papa vêt san* vietrius, ipeo thaente, pRMidere débet, nM ctuat mtni« fest* et m jure divine fandatt obdateret.

« Romana Eeeteai~ tMtz amhoritttM e<t, (Qaod, aecandmn aiiquoa, « MM et vêt eMn repnMentMtibM m generM~CondUo, nihH decemi << Mtdifaoiri debett,ni<iCtMtrttiOMHBobai<teret.

« RooMM Eccte~ totomqne genende CMeiBam td anivers~em « membrorum Ecdesiae refomMtionem debent aotnimiter coneorrere. (fMd., cot. 938-959)