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Titre : La Faculté de théologie de Paris et ses docteurs les plus célèbres. Moyen âge. [Volume 3] / par l'abbé P. Feret, ...

Auteur : Féret, Pierre (1830-1911). Auteur du texte

Éditeur : A. Picard et fils (Paris)

Date d'édition : 1894-1897

Sujet : Théologiens -- Paris (France)

Sujet : Université de Paris (1215-1793). Faculté de théologie

Notice d'ensemble : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb400085463

Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb35048018w

Type : monographie imprimée

Langue : français

Format : 4 vol. ; 25 cm

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Description : Appartient à l’ensemble documentaire : CentSev001

Description : Appartient à l’ensemble documentaire : BibICP

Description : Contient une table des matières

Description : Biographie

Droits : Consultable en ligne

Droits : Public domain

Identifiant : ark:/12148/bpt6k75727k

Source : Bibliothèque nationale de France, département Philosophie, histoire, sciences de l'homme, D-83869 (1-4)

Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France

Date de mise en ligne : 15/10/2007

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Deux ans plus tôt, il avait été rapporteur dans la grave et retentissante question franciscaine touchant la pauvreté du Christ et des Apôtres (i).

Il mourut, à Avignon, en i336. Dans son testament, il parlait de sa reconnaissance à l'endroit du couvent de la rue Saint-Jacques, où il avait puisé le complément de ses études et conquis ses grades théologiques et, en témoignage de ce sentiment du cœur, il léguait à ce même couvent mille florins d'or de Florence (2).

Nous avons à citer comme ouvrages inédits de l'éminent personnage des Sermons prononcés en divers endroits un traité des Noces <<M Christ Notre-Seigneur et de l'Eglise un autre, qualifié de remarquable (insigne volumen) où étaient exposés les droits concessiona et privilèges de fZ~/MC romaine.

Ce dernier traité est-il le même que celui du Prince et o?M pouvoir des prélats dans ? Nous estimons, avec les auteurs des Scriptores ordihis Pra'~ca<o~MMï, qu'il y a lieu de répondre affirmativement (3).

MATTHIEU ORSINI ou DES URSINS

( vers t54o)

Matthieu était de l'illustre famille des Orsini ou des Ursins et neveu du cardinal François Napoléon Orsini. Jeune encore, il possédait un canonicat dans une église de France qui était sous le vocable de Saint-Etienne. Il s'agitvraisemblement d'une église de la ville de Toulouse. Suivant les auteurs de l'histoire littéraire des Dominicains, c'est à tort que le P. Souèges assigne Saint-Etienne des Grès de Paris. Matthieu étudiait le (t) Rainàtdi, 7Md., an. t5a5, cap. XX.

(a) François du Chesoe, Op. cit., p. 387, écrit que ce testament se trouvait au couvent dominicain de Bayonne, bien qu'il n'ait pu lui-même en avoir communication

Baluze, Op. cit., col. 671 et suiv., a reproduit, d'après les < schedas Arnaldi Oihenarti quelques extraits de ce testament. C'est là, col. 673, que nous avons trouvé la clause indiquée.

(3) Script. ibid., p. 5~.

Le rr<M<a<tM<<epttnd<M e<pf<~a<on<ntBcc<MM? potatae « in bibliotheca « S. Germania Pratis ad ParMios num. 294 extat memb. fol.med. optïmo

« chafactere. (/M<<.) C'est aujourd'hui !e ma. tat. 1~467 de h BM.

nat.