Ao~/M~ <7/M.s~joa; les pa~« et chrétiens. Ce De t~M <M.s~&~ ~t<cM et cArM~~t~ est également demeuré à l'état de manuscrit)!). Quand l'auteur parle de saint Thomas, il lui donne ces quatre ouvrages: la .S'o~~e~eo/o~y~c, un commentaire des ~~e/tc~, la ~o/e contre les G'?~< l'Office du ~<af~yMeM/ Relativement à la ~ow/~c /A~/oy~Mc, qu'on a essayé de ravir à l'Ange de l'école, cette amrmation est d'une grande importance et vient confirmer ce qui a été établi. Le théologien déclare, au sujet de IQ~c~c~M Saint.Sacr<'w~ que rien de plus religieux ne se dit ni ne se chante dans l'Eglise « quo devotius in Ecclesia Dei non dicitur nec cantatur » ~2).
On attribue aussi à Jean Colonna ces deux traités: D<~Va/Ac~'<< ~«/cco~r (De //</p~c//a/<? cu/'t~) D~ la Gloire du P~'ac~ 3) et des ~c/ à diverses ~p~oM/~< (t). Enfin, notre Bibliothèque nationale possède de lui un sermon sur ce texte: //aM~ //&/ o~MaM coM/ra o~«/to~cM ~5), texte qui se trouve ainsi exprimé dans le prophète Nahum, III, i4.' A~~a~t~op/p/' o&tCM ~Mr< /t.
Des ouvrages que nous venons d'énumérer. il faut tirer cette conclusion Jean Colonnadoitêtre surtout rangé parmi les chroniqueurs.
VI
LATINO MALABRANCA
( -)
Latino ou Latini, en latin Latinus, Mat&branca appartenait par sa mère à la famille des Orsini ou Ursins sa mère était sœurdu cardinal de ce nom qui devint le Pape Nicolas III. Aussi ajoutons-nous aux deux noms précédents celui <~e ~tMM. (t) ~'np<. ord. P!'a'dtco< tom. p. 4~0 '< Exstat Veoetiixapud S. « S. Jo. et Paul., et roccnset Thomasinus in biblioth. Venet.; vidit 'Md. « clar. itsceta Montfauconius. »
(a) /&td.
(5) Script. vol. ci' p. ~ao « Sic Prosper Mandosius B:M. Rom. « Cent. 7 a. 3, pênes quem fides, cum ubi serventur.non addat. (4) lbid. « Sic Lusitanus et sequaces post Tritemium. (5) Ms. lat. taySo (M. Lecoy de la Marche, ~.0 CAatre. Paris, t886. p. 5*5;.