l'église cela arriva souvent en ttalie. Avec le ~M<s Ao~m, plus de doute c'est bien ta un morceau d'église ta langue en est ferme, sobre, et dispose au recueillement. Le .S7a~a/, pris (tans son enscndde, est une rouvre écrite dans te style d avant <<w<? 7'<p/ mais
avec une perfection d'écriture et une intensité d'expression singulières n'est-ce pas un Rossini nouveau qui s annonce? Peut-être, mais pour ne jamais venir. Xous aurons encore le limpide et lumineux chœur de la C/Mla /~< ~<?<<<«' .'<o/c/~c//<' qui sera cttantee en t8< aux Italiens où ~t" Alboni fera valoir les mérites du .s~r~ et M" Patti, ceux du < ~ct//j~s; nous aurons les .So~< w~M/<?< œuvres de citant travaillées a loisir et d'une lecture fort intéressante, ~'oublions pas la C~/a/f pour la clôture de la grande Exposition universelle de t8<}'7, célèbre par son tapage, et dont on s'est demande si elle méritait d'être prise au sérieux. Rossini ne détestait pas la plaisanterie, même en musique souvenons-nous des deux /~<«'/t~.
Ainsi, maigre de courtes reapparitions daus la vie musicale de son siècle, le /<M/o peut bien être dit irrévocable. Quelles en sont les causes ? On les cherchera longtemps. Un consultera la biographie, la correspondance. Et 1 on n'en saura jamais rien. L'un nous fera remarquer que Hossim ne prit la route de Bologne en i8:)C qu'après avoir entendu les /~<y~<<. L'autre, nous racontera que Hoss< a Florence, pendant une représentation du /<~< qui en ce temps-la faisait fureur, et a laquelle d'ailleurs il ne voulait point assis-